Le train démarre au Col de Saint-Ignace
A bord du petit train à crémaillère de la Rhune, ce sont 35 minutes de grimpette pour atteindre le sommet, pour bénéficier d' une vue spectaculaire sur le Pays Basque, l'océan, les Landes et les Pyrénées !
C'est l'un des rares chemins de fer à crémaillère de France encore en service.
Le matériel est toujours celui conçu en 1924.
Sur le parcours, nous avons croisé, de loin, (difficiles à photographier) des pottoks, petits chevaux semi-sauvages typiques des montagnes basques.
A mi-parcours, vous pouvez croiser le petit train de la Rhune ramenant les voyageurs précédents à la gare.
Au pied du village médiéval, pour clôturer la visite de la ville vous avez le choix pour vous parfumer ou pour découvrir l'histoire du parfum. En effet 2 enseignes y sont installées, vous proposent une visite guidée et un choix d'articles à acheter.
Il s'agit de Fragonard et de Gallimard.
Quelques images mais que du visuel, pas d'olfactif via le net !!!
Une photo pour KHANEL :
un point d'eau (ici la Camargue)
Sare (Sara en basque), village de près de 2 500 habitants, est classé parmi les "plus beaux villages de France".
Le village, entouré de montagnes (dont La Rhune à 905m) et enclavé dans la Navarre espagnole avec 32 Km de frontière, est situé à 14 Km de la mer (Saint Jean de Luz).
Devises : « Saran Astia », A Sare, on a le temps. Telle est la devise de ce village . Le clocher de l'église fut surélevé en 1765 et le cadran solaire porte l'inscription : Oren guziek dute gizona kolpatzen azkenekoak du hobirat egortzen (toutes les heures blessent l'homme, la dernière l'envoie au tombeau).
J'ai lu que seules trois couleurs de volets étaient autorisées, toute dérogation étant mal vue des traditionalistes... Le bleu, pour les maisons proches de la côte, cette couleur étant utilisée pour peindre la coque des bateaux des marins, qui peignaient ensuite leurs volets avec; Le rouge, à l’origine du sang de boeuf, utilisé pour éloigner les insectes; et le vert.
Ce petit recoin du nord de la Navarre, théâtre de la légendaire Bataille de Roncevaux, immortalisée par le poème médiéval « La Chanson de Roland », reste dans les mémoires.
".....Ames des Chevaliers, revenez-vous encor?
Est-ce vous qui parlez avec la voix du Cor ?
Roncevaux ! Roncevaux ! Dans ta sombre vallée
L'ombre du grand Roland n'est donc pas consolée !
Tous les preux étaient morts, mais aucun n'avait fui.
Il reste seul debout, Olivier prés de lui,
L'Afrique sur les monts l'entoure et tremble encore.
"Roland, tu vas mourir, rends-toi, criait le More ....
Une des étapes les plus difficiles du Chemin de St Jacques de Compostelle (dixit les guides) : 28 kms, 1300 mètres de dénivelé, 8 heures de marche... est l'étape entre St Jean Pied de Port et le col de Roncevaux.
Outre le franchissement des Pyrénées, les pèlerins marchent sur les pas des troupes de Charlemagne et le souvenir de Roland, des guerres Napoléoniennes, le passage des Romains (Tour d'Urkulu), les voies de transhumance ......
Nous avons emprunté ce chemin, en voiture, et nous y avons croisé des pélerins justement.
La Citadelle du 12e siècle couronne le tout, mais elle n'est que l'ombre de ce qu'elle fut, ses fortifications ayant été rasées méthodiquement à la fin du 17e siècle. Mais elle offre au visiteur un beau panorama sur le littoral et un jardin exotique magnifiquement situé.
Des personnalités illustres se sont installées ou ont traversé le village. Parmi elles, on retient Georges Sand, les princes de Monaco et plus récemment Bill Clinton et Bono du groupe U2.
L'un des célèbres visiteurs d'Eze a laissé un souvenir dont on peut encore profiter aujourd'hui : il s'agit de Nietzsche. On peut en effet encore emprunter le sentier dit "de Nietzsche", sur lequel, selon la tradition locale, il imagina quelques pages de "Ainsi parlait le Zarathoustra".
le jardin d'eze,
situé dans le village, où une impressionnante collection de cactus, plantes grasses et espèces rares entourent les vestiges d'un vieux château à 400 m d'altitude au sommet de la falaise qui domine la mer.
Après la seconde guerre mondiale des dizaines d'hommes transportent sur leur dos des sacs remplis de terre et de moellons vers les ruines du château où subsistent toujours quelques pans de murs. C'est là que André Gianton, le maire de l'époque, avec le concours de Jean Gastaud père du Jardin exotique de Monaco, a décidé de créer un jardin exotique.
Le site est bien abrité des vents du nord par le plateau de la Revère et sa déclivité assure un drainage efficace. Car il s'agit d'implanter ici des plantes adaptées à la sécheresse : des cactus, des agaves, des aloès…
Sur les photos de l'époque les parterres sont parsemés de jeunes coussins de belle-mère, certains sont encore dans leur pot, entourés d'euphorbes juvéniles. Véritable gageure et pari sur l'avenir. Devant le succès d'une telle initiative cette première phase d'aménagement fut bientôt suivi d'une seconde.
Hiver 2004, le Jardin exotique laisse la place à un un nouveau concept de Jardin. Un Jardin où, à côtés des plantes exotiques, plusieurs parcours se superposent, artistique, thématique ponctués d'endroits pour se détendre et s'imprégner de l'atmosphère des lieux...
...Un Jardin à vivre.
La commune se trouve sur la via Podiensis, l'un des chemins du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui part du Puy-en-Velay et se prolonge jusqu'au col de Roncevaux et, de là, à Saint-Jacques-de-Compostelle.
Saint-Jean-Pied-de-Port est également située sur la voie de la Nive, une variante du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle suivie par les pèlerins qui, de Bayonne, recherchaient à regagner le Camino navarro avant sa traversée des Pyrénées, à Saint-Jean-Pied-de-Port.
Nous continuons notre balade dans la rue de la citadelle.
Au n° 39, la maison à encorbellement connue sous le nom de « maison des Évêques », ou maison Laborde laisse apparaître un moellon portant en relief la date de 1584, indiquant une reconstruction puisque le dernier des trois évêques schismatiques de Saint-Jean-Pied-de-Port rejoignit Bayonne en 1418.
Le jardin de cette maison communique avec la prison des Évêques.
La rue s'achève à la porte Saint-Jacques, que les pèlerins venant d'Ostabat empruntaient pour entrer en ville.
Nous entrons dans la vieille ville par la porte Notre Dame.
La porte Notre-Dame, qui donne sur le pont Notre-Dame présente, dans une niche, une copie de Vierge à l'Enfant.
On trouve sur la façade de l'église, plusieurs marques de tâcherons et à l'intérieur également, on peut remarquer une pierre gravée d'une croix et de deux clés.
Juste à côté de l'église, une jolie fontaine décorée d'une coquille Saint Jacques attend les pélerins.
Eglise Notre-Dame de l'Assomption d'Eze
L'Église Notre-Dame-de-l'Assomption a été reconstruite au milieu du XVIIIe siècle. Sa façade percée d’un œil-de-bœuf lui donne un aspect très original.
Elle possède une nef unique de style baroque, des toiles et un mobilier du XVIIIe siècle. On observe également une remarquable statue de l’Assomption, œuvre attribuée au sculpteur Muerto. Les fonds baptismaux armoriés datent du XVe siècle. Quant au clocher carré, il comporte deux étages.
Le village d’Eze connut ses premiers occupants dès la préhistoire. Cependant, les premiers à s’installer ont été des Celto-ligures. Vinrent ensuite les Phéniciens. Puis les Sarrasins prirent la place des Romains.
Enfin Eze revient à la France, ou pour un temps en tout cas puisqu’il ne fera définitivement partie du territoire français qu’en 1860.
A travers les siècles, le village s’est construit d’importantes fortifications pour faire face à l’envahisseur. De ces installations, il ne reste pas grand-chose aujourd’hui.
Sur ordre de Louis XIV, les remparts et le château ont été en partie démantelés. De ce temps, seule une double porte fortifiée : la Poterne, qui assure l’entrée au village, perdure.
Les espadrilles font aussi partie du patrimoine basque. Albertine est aujourd'hui la seule couseuse à Saint-Jean-Pied- de-Port à confectionner des espadrilles à la main.
Elle travaille avec son mari. Ils tiennent une boutique et sont très accueillants.
Au bout de la rue d'Espagne, nous apercevons la Tour Notre-Dame qui protégeait l'accès à la vieille ville, au niveau du "Pont-Vieux" qui franchit la Nive. De belles maisons surplombent la Nive.
Saint-Jean-Pied-de-Port doit son nom à sa situation au pied du port (ou col) de Roncevaux
C'est aussi une des plus importantes étapes vers Saint-Jacques-de-Compostelle.
La plupart des maisons portent leur date de construction gravée sur la clé de voûte de la porte d'entrée. Le symbole des pèlerins, la coquille saint Jacques, est omniprésent.
De nombreuses échoppes étaient installées dans la rue d'Espagne. L'objet du magasin était gravé dans la pierre au dessus de l'entrée. De nombreuses inscriptions sont toujours visibles.
Avant la balade dans la ville arrêt à une fromagerie :
Le fromage Ossau-Iraty est un fromage traditionnel du Béarn et du Pays Basque au lait de brebis. Sa fabrication est réalisée durant l’hiver et le printemps et peut se poursuivre en estives pour une partie des fromages, au cours de l’été.
André Lamouroux réalise le rêve de sa vie en venant s’installer en Camargue en 1946. .
CLIC Avec son épouse Laly, ils ouvrent un restaurant l’Hostellerie de Pont de Gau qui obtiendra une étoile au guide Michelin en 1954.
En 1949, il ouvre un petit espace d’un demi-hectare dans lequel il aménage des petites volières où sont présentées la plupart des espèces locales. Ce parc zoologique évoluera peu jusqu’à ce que son fils René, rejoint plus tard par ses trois fils, le transforme totalement lui adjoignant les deux marais de chasse voisins . Et Pont de Gau est une véritable histoire de famille.
"Bleu de France" est un navire dans le monde de la croisière, avec une seule langue utilisée a bord le français et une formule 100% Tout Inclus. clic
Sur le "Bleu de France" vous êtes comme chez vous : ce bateau à taille humaine offre un service de proximité, attentionné et courtois, des espaces à la fois élégants et chaleureux dans un style chic et discret. (dixit la brochure)
Avec mes amis de Meshers et mon ami Soleil(orange) / Ceviche(over-blog) et son épouse
nous avons visité Notre Dame de la Garde, la Bonne mère.
J'espère qu'ils garderont un bon souvenir de cette journée!!!
Notre-Dame de la Garde, également appelée localement « la Bonne Mère » est une des basiliques mineures de l'église catholique. Elle est située sur un piton calcaire de 162 mètres d'altitude au sud du Vieux-Port de Marseille.
Cette basilique a été conçue par Henry Espérandieu entre 1853 et 1870, dans un pur style romano-byzantin, sur les fondations de l'ancienne chapelle construite au XIIème siècle. A l'intérieur, vous découvrirez les ex-voto des marins (des marines et des bateaux pendus au plafond), des pilotes de canadair, des pompiers et de nombreux anonymes.
A son sommet on peut admirer la statue en feuilles d'or de la Vierge (9,70m de hauteur), visible depuis de nombreux points de la ville puisque c'est le point culminant de Marseille.
Après avoir serpenté dans ces collines , voilà l'heure de regagner le village par la voie qui grimpe au château ou par l'avenue de la Pourane. Un village tout simple, à peine surélevé pour ne pas souffrir des torrents descendus droit des vallons et survenant lors des orages. C'est ainsi que le Vallat, un grand ruisseau momentané, un oued, traverse la petite cité.
Il a été aménagé dans sa partie nommée "Fontaine d'Arbaud", avec un théâtre de verdure, des jeux d'enfants et un terrain de boules. C'est ici, explique-t-on, que le poète José d'Arbaud, natif de Meyrargues, s'adonnait à la promenade méditative.
Le vieux village, détruit pendant les guerres de Religion et reconstruit au XVIIe siècle, se parcourt donc dans le lacis des vieilles
rues nord-sud, étroites et pittoresques.
Saint-Sébastien compte de nombreux espaces verts urbains dont la place de gipuzkoa qui fait aussi la transition entre la vieille ville et le centre.
C'est un quartier qui naît vers le milieu du XIXe siècle après la démolition des remparts en 1864.
C’est un des quartiers le plus élégant et il se situe entre la plage de La Concha et le fleuve Urumea. Il est délimité par le quartier de Gros à l’est, par le quartier d’El Antiguo à l’ouest et par le quartier d’Amara au sud.
À El Centro on trouve les plus importants commerces et la plupart des édifices emblématiques de la ville. Parmi eux, nous trouvons l’Hôtel de ville, le Théâtre Victoria Eugenia et la Cathédrale du Buen Pastor.
Toujours dans le quartier "el centro" nous passons devant la cathédrale Buen Pastor
Sur la façade principale, « La Cruz de la Paz » (La Croix de la paix), œuvre du sculpteur Eduardo Chillida.
Avec ses 1 915 mètres carrés, c’est la plus grande église de toute la ville.
La cathédrale est construite en ardoises et en pierres du mont Igeldo.
Nous empruntons ensuite un pont : le pont Maria Cristina
C' est un beau pont construit en 1905 reliant la gare du Nord avec le centre-ville, en passant par la rivière Urumea.
Sa forme s'inspire du pont Alexandre III à Paris, c'est un véritable travail d'artiste mettant en évidence 4 groupes de sculptures. C'est sans doute l'un des ponts les plus spectaculaires du pays.
Dernières photos prises le long du Rio Urumea.
Avec les ponts Cristina, le pont Santa Catalina et le premier pont déjà décrit ICI.
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Nous passons devant le théâtre Victoria Eugénia l'un des édifices les plus emblématiques de San Sebastián. Chargé d'histoire, depuis son inauguration en 1912, le Théâtre a été le témoin des principaux événements culturels de la ville.
Tout près se trouve un hôtel renommé : l'hôtel Maria Cristina
Inauguré en 1912 comme le théâtre, il a représenté la belle époque donostiarra et c'est le logement principal des étoiles qui vont au Festival International du Cinéma de Saint-Sébastien.
Ici ont été hébergés des personnages très divers et variés comme Léon Trotsky, Mata Hari, Maurice Ravel, Audrey Hepburn, Alfred Hitchcock, Steven Spielberg ou Mick Jagger.
Situé juste après Nice, en allant vers Menton, Eze s'étend en bord de mer du Cap Roux à la pointe de Cabuel.
Perché en nid d'aigle au sommet d'une imposante et superbe falaise, on aperçoit de loin le village et son église ocre clair.
La porte du village franchie vous découvrirez un petit village provençal , fleuri et offrant de superbes panoramas sur la mer et la côte.
Petites ruelles de pierres, passages voûtés, maisons de pierres superbement restaurées, placettes ombragées,...
En 1953, Robert Wolf est séduit par le Château de La Chèvre d’Or et le transforme en restaurant. Sur les conseils de Walt Disney, dit-on, il acquiert des maisons de village et les transforme en chambres.