samedi 31 août 2013

Saint Maximin la Ste Baume

La Basilique 

En 1295, Charles II d’Anjou fait procéder à des fouilles sur le lieu que la tradition désigne comme le tombeau de Marie-Madeleine, et y découvre des ossements. ( voir articles publiés sur la grotte de la Ste Baume ICI )

 

 Il obtient du pape l’autorisation d’édifier une église majestueuse pour le culte de ses reliques. La construction dura plus de deux siècles mais l’édifice resta inachevé, ce qui ajoute encore à sa mystérieuse beauté.

 

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 Vaste vaisseau gothique aux structures simples mais puissantes, conçu pour accueillir les foules de pèlerins, ses dimensions sont impressionnantes.

 La nef, élevée à 29 mètres sous clef, s’étend sur une longueur de 72,60 mètres pour une largeur de 13,20 mètres et se compose de neuf travées.

Elle renferme un précieux mobilier. On remarque tout particulièrement dans la nef,  dans le choeur, une gloire en bois sculpté doré figurant le Ravissement de Marie-Madeleine, classée Monument Historique.

 

vendredi 30 août 2013

MORONDAVA 2

Dans l'article précédent je disais que nous avions très bien mangé à Morondava

En images dans le diaporama....

 

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repas 24 euros

tout ce qu'il y a à table pour 3 personnes avec boisson et cafés

( sur les photos on ne voit pas les desserts compris dans le prix)

 

 

Morondava est tourné donc vers la mer, la pêche également. Nous verrons des embarcations typiques du lieu.

 

 

 

jeudi 29 août 2013

MORONDAVA (1)

http://i1252.photobucket.com/albums/hh578/chevrette13/Madagascar/MADACIRCUIT_zpsb8c0e0af.gifMorondava est située à l'ouest du pays,

sur le delta de la rivière du même nom au bord du canal de Mozambique.

 

 

 

Au plan de l'économie, la pêche est l'activité principale de la région, en particulier les crustacés.

  

 

Nous en avons vus au marché,

très coloré,

mais aussi dans des bassines portées par des femmes. 

 cliquer sur la carte

 

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D'ailleurs c'est dans cette ville que nous avons mangé les meilleurs crustacés lors de notre séjour et à moindre prix.

 

mercredi 28 août 2013

l'allée des baobabs (2)

Une douzaine d'arbres de 30 mètres de hauteur bordent cette avenue, c'est aussi le lieu idéal pour admirer le coucher du soleil.

Légendes sur les baobabs

 Plusieurs légendes sont associées à la forme du baobab :

· les Arabes expliquent qu'un démon a arraché l'arbre, planté ses branches dans le sol et laissé ses racines à l'air.

· Une autre légende explique que le premier esprit d'une race ancienne proposa aux animaux de planter des arbres. La hyène arriva en retard et reçut le dernier arbre qui restait, soit le baobab. Elle était si furieuse qu'elle le planta à l'envers.

 

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· La croyance la plus répandue est cependant celle selon laquelle Dieu lui-même planta le baobab à l'envers.

Certaines personnes apportent des précisions en disant que Dieu avait d'abord planté le baobab dans le bassin du Congo, puis à Ruwenzori, mais qu'à chaque fois, l'arbre se plaignait d'une humidité trop élevée. C'est alors que Dieu, irrité, décida d'arracher l'insatisfait et le jeta dans une contrée sèche…mais il y atterrit à l'envers. 

 

mardi 27 août 2013

l'allée des baobabs Madagascar

L 'ALLEE DES BAOBABS des, un site incontournable à Madagascar.

Cet arbre d'ailleurs est un des symboles de l’île. On l'appelle aussi l’arbre à l’envers.

 

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On y trouve 3 espèces :

1- Adansonia grandidieri Baill : Renala

Arbre de grande taille, à sommet aplati. Fût cylindrique de couleur grisâtre. 

2 - Adansonia rubrostipa Jumm. & H. Perrier : Fony

Arbre de taille moyenne, remarquable par son fût de couleur marron rougeâtre  présentant une constriction au-dessous des branches lui donnant la forme de bouteille.

3 -Adansonia za Baillon : Za

Grand arbre rarement rabougri, sommet arrondi, tronc fuselé, cylindrique de couleur gris pâle. 

 


 

lundi 26 août 2013

Le Baobab amoureux...Madagascar

Les Baobabs de Madagascar: 

 

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Il existe 8 espèces de Baobab dans le monde dont 7 sont à Madagascar.

 

Nous allons à la rencontre des Baobabs amoureux.

 Le baobab amoureux, dont le tronc se divise en deux pendant sa croissance, existe vraiment.

 Ce sont des Adansonia fonii. 

 Toutes les espèces de Baobabs endémiques de Madagascar sont en danger, à cause des feux de brousse, des eaux d'irrigation pour la canne à sucre et des zébus qui mangent les jeunes plants. En fait il y a peu de régénération au sol.

Les baobabs produisent de gros fruits de forme oblongue appelés Renala en malgache-. Les graines, logées dans une pulpe blanchâtre, sont protégées par une coque dure,  recouverte d’une peau marron et douce comme du velours.

La pulpe du fruit contient des quantités importantes de vitamines essentielles ...

 

 

dimanche 25 août 2013

Saint Maximin la Ste Baume

Saint-Maximin-la-Sainte-Baume est un gros bourg provençal  situé dans le département Var à 50 km de Marseille.

 

Parmi les sites à voir dans la ville ,

on commence par la fontaine qui  date de 1815.

Projet de l'Empire Napoléonien, cette fontaine a été construite sous la Restauration. L'une des faces du corps central porte l'inscription "Post temporum calamitatis gallis reddita pace sub optimo.."

 

2e édifice : la Mairie

C'est l'architecte de la cour de Louis XV, Jean- Baptiste Franque, qui dessine les plans d'une nouvelle hôtellerie en remplacement d'un édifice vétuste.

Vendu comme bien national à la révolution, il fut acheté par la communauté de la ville.

Le bâtiment abrite aujourd'hui la mairie.

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3e, le cloître

En 1295, une communauté de religieux s'installe à Saint-Maximin et à la Sainte Baume. Dès lors, les batiments monastiques furent commencés parallèlement à la construction de la Basilique.

 

  

samedi 24 août 2013

Citadelle de Sisteron (fin)

De 1842 à 1860, d'ultimes travaux tendent à "mettre à jour" la Citadelle.

On relève les courtines.

 

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On ouvre les deux portes charretières de la face sud.

Au nord, la deuxième enceinte est remaniée; une citerne aménagée. Enfin on creuse le formidable escalier souterrain reliant la Citadelle à la porte nord de la ville, elle aussi reconstruite

La Chapelle, "Notre-Dame du Château" dans les textes, remonte au XIVe siècle, sinon XVe siècle.

On l'établit sur une terrasse portée par de puissantes arcades. Son vaisseau gothique est inondé de lumière .

Créé en 1928, son théâtre de verdure accueille chaque été le festival des Nuits de la Citadelle et ses artistes internationaux.

C’est l’un des plus anciens de France. 

 

vendredi 23 août 2013

Sur la piste vers Morondava

Nous poursuivons notre piste, nouvel arrêt devant le baobab sacré.

 

La légende dit que dans cette région de Morondava, vivait un sorcier fort connu.

Les gens venaient de loin pour le consulter.

Le jour de sa mort, là ou il avait toujours vécu, un immense baobab poussa.

Depuis, les villageois viennent déposer des offrandes au pied du baobab. 

 

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Les offrandes :

Des moitiés de bouteilles plantées dans le sol pour aider à la fertilité,

des billets pour la prospérité,

du riz pour favoriser les récoltes

et du miel dans une coquille d'escargot afin d'exhausser son souhait amoureux ...

 

jeudi 22 août 2013

Sur la piste vers Morondava.

Sur la piste qui nous conduit à Morondava, premier arrêt photo pour un caméléon.

 Furcifer oustaleti 

C'est l'un des caméléons malgaches dont la zone de diffusion est la plus vaste.

On le trouve partout sur cette île et même à proximité des habitations, voire dans les villes, dans des milieux humides et riches en végétation, mais également dans des zones semi-arides avec peu d'arbustes et de très rares plantes.

 

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La base de la queue du mâle est plus épaisse du fait de la présence de deux hémipénis repliés chacun dans une poche.

Le mâle est globalement marron avec une bande plus claire au centre du corps tandis que la femelle est verte avec des taches blanches ou bien présente une livrée marron clair et rouge lorsqu'elle est gravide . 

Nous poursuivons la piste bordée d'une espèce de savane, de temps à autre une termitière.

Les baobas commencent à se faire plus nombreux.

 

 

 

 

mercredi 21 août 2013

Navigation vers TSIMAFANA

En cours de navigation nous croisons d'autres embarcations et nous pouvons voir des gens travailler dans les rizières.

 

 

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D'autres en profitent pour faire la lessive ou se laver.

Nous arrivons au port de  Tsimafana.

Important trafic de camions qui chargent ou déchargent.

Il y a même des décortiqueurs de riz.

 

 

 

 

 

mardi 20 août 2013

Départ de BELO

Nous nous dirigeons vers l'embarcadère de Belo pour prendre le bac que nous avions vu de loin lors de notre croisière sur la Tsiribihina.  

 

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Mais cette fois-ci ça va être à notre tour d'y monter !!!

 

D'ailleurs Naina nous demande de descendre du véhicule lorsqu'il va l'embarquer !!

 

                                OUF !! il a réussi !!

 

Durée de la traversée  vers Tsimafana 45 min.

 

 

 

 

lundi 19 août 2013

BELO-sur-Tsiribihina

L’origine du nom remonte à un épisode sanglant datant de 1818 qui vit s’affronter dans la région les troupes Merina aux Sakalava. Après les combats, le champ de bataille fut jonché de cadavres, ce qui valut au village son nom. C’est en 1914 que Belo accéda au rang de ville administrative

 

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Belo-sur-Tsiribihina est une paisible bourgade qui s’anime les jours de marché aux zébus.

Elle voit débarquer produits agricoles, tabac, haricots… et les touristes ayant navigué sur le fleuve.  

La petite ville a un port fluvial protégé par l’embouchure de Tsiribihina.

De là circulent beaucoup de bateaux qui approvisionnent la petite ville au bord du fleuve de marchandises et qui procèdent au transport de passagers.

 

 

 

 

 

dimanche 18 août 2013

La citadelle de Sisteron (2)

En 1692, Vauban, après l'invasion de la haute vallée de la Durance par le duc de Savoie Victor Amédée, conçoit pour Sisteron un vaste plan de défenses intéressant la ville et la forteresse. 

De l'ambitieux projet, seuls la poudrière et le puits de cette dernière sont réalisés. 

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Dans l'enceinte de la forteresse, on peut visiter le Musée dont une salle aménagée dans une casemate est consacrée au Retour de l'île d'Elbe.

Soixante documents d'époque évoquent la glorieuse épopée.

Sur le parcours un véritable musée de la voiture à cheval offre un exemplaire de chaque type des véhicules qui animaient nos routes et aidaient au travail des champs voilà cent ans et moins même.

  

samedi 17 août 2013

La citadelle de Sisteron (1)

Classée monument historique, c'est la pièce maîtresse de la ville (XIème - XIIIème - XVIème - XIXème s.) Jehan Sarrazin, ingénieur militaire d'Henri IV, puis Sébastien Vauban ont marqué de leur sceau ce  monument.

 

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Le rempart supérieur, ou chemin de ronde, ponctué d'un puissant donjon remonte au XIIe siècle.

A cette ligne de faîte on a adapté, après les destructions des guerres de Religion, vers 1590, au nord et au midi un étagement d'ouvrages bastionnés auquel venait se souder le rempart enserrant la ville depuis le XIV' siècle.

La face sud comporte trois enceintes fermées de portes bien défendues. Celle nord, deux seulement.

 

Début de la visite

 

vendredi 16 août 2013

BELO ... Madagascar

Nous poursuivons notre piste pour atteindre la ville de BELO sur Tsiribihina.

En cours de route arrêt photo pour un caméléon,

des oiseaux, des baobabs majestueux.

l'oiseau "roi de Mada"   le drongo  ,

une termitière....

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Nous sommes sommes installés à l'Hôtel du Menabe,

bon accueil,

chambre à 8 euros la nuit. Une bonne cuisine également.

 

http://hoteldumenabe.free.fr/

Mais auparavant on a fait un tour dans la ville.

 

jeudi 15 août 2013

Grotte de la Sainte Baume

Le sanctuaire est une caverne qui peut contenir jusqu’à 1000 personnes. 

Selon la tradition chrétienne, la Sainte Baume ne fut qu'une étape pour Marie Madeleine. Après avoir débarquée aux Saintes-Maries-de-la-Mer avec ses compagnons d'exil, elle se lance dans une mission d'évangélisation à travers toute la Provence.

 

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Marie Madeleine aurait aspiré à une existence plus paisible en se retirant dans la grotte de la montagne de la Sainte Baume, au coeur de l'ancienne forêt sacrée.

Elle y aurait passé les trentes dernières années dernières années de sa vie, en pénitence et dans une profonde méditation. 

A sa mort, Maximin compagnon d'exil de Marie Madeleine, l'aurait ensevelie à Villalata (qui prendra plus tard le nom de Saint Maximin) dans un sarcophage de marbre et fait dresser sur sa tombe un oratoire.

 

 

 

mercredi 14 août 2013

Route vers BELO...Madagascar

Plus loin nous avons croisé une dame revenant de la rivière avec une bassine , sur la tête, remplie de poissons.

 

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On lui a donné de l'eau, elle aussi, marchait, marchait, elle nous a dit qu'il ne lui restait plus qu'une heure de marche. 

Nous l'avons emmenée  dans le 4X4 .

En fait il y avait presque une heure de route  en voiture !!!

Au village elle a aussitôt vendu son poisson, je pense que c'est la première fois qu'elle apportait du poisson frais !!

 

 

mardi 13 août 2013

En route pour le bac de BELOPAKA

Nous quittons les Tsingy, direction le bac de Belopaka pour la traversée du fleuve.

DEUX rencontres inoubliables après le bac, le long d'une piste.

 

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PREMIER MOMENT fort qui m'a beaucoup touchée même bouleversée.

Nous avions pris de France un valise de vêtements, savons,.... 

En cours de piste donc nous avons vu une fillette avec son frère qui marchaient...comme tous les Malgaches qui marchent qui marchent...

Nous nous sommes arrêtés, j'ai donné un tshirt au gamin qui s'est presque enfui avec.

Un autre à la fillette qui l'a serré contre elle sans le déplier, sans savoir ce que c'était.

Puis je leur ai donné des biscuits alors le gamin est revenu. Je les ai pris en photo. La fillette s'est approchée, m'a serré longuement la main tout en me remerciant.

Son regard, son geste m'ont énormément émue. Lorsque nous avons démarré elle a alors déplié le Tshirt et m'a à nouveau regardée et fait un signe. Je crois que je n'oublierai jamais son regard. 

 

2e moment fort, demain

 

lundi 12 août 2013

La forêt des TSINGY (2)

Il existe une variété de lémuriens à Madagascar appelés  propithèques ou sifakas.

Les Sifakas ont la particularité de se mouvoir dans les arbres épineux de la forêt sèche. Ils peuvent faire des sauts de 6 mètres au travers des arbres.

Lors de notre balade en forêt des Tsingy nous avons trouvé une famille de Sifaka de Decken.

...........Ils n'ont nul besoin de s'abreuver (l'eau présente dans leur alimentation suffit à leur métabolisme) et qui s'élancent d'épineux en épineux d'une façon surprenante, sans sembler se soucier des défenses naturelles des arbres.

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En effet, le cuir de leurs pattes est très robuste. 

 Ils mesurent environ 50cm (autant pour la queue) pour seulement 4kg.

Au plus fort de l’hiver, il leur arrive de se blottir le soir, au creux du rocher, afin de profiter de la chaleur accumulée dans la journée.

 ...............Le soir dans le parc du lodge nous avons pu observer, à la lueur d'une lampe de poche, un microcèbe.

Le microcèbe est un lémurien nocturne de petite taille.

 

 

dimanche 11 août 2013

Le MuCEM à Marseille 2013

Le musée proprement dit, « un bâtiment de pierre, d’eau et de vent », est réalisé par l'architecte Rudy Ricciotti (associé à Roland Carta), dans le nouveau bâtiment – un cube de 15 000 mètres carrés. 

 

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Le site du MuCEM est implanté au cœur d’un site patrimonial  – cathédrale de la Major, église Saint-Laurent, perspectives sur le 

palais du Pharo, sur l’abbaye Saint-Victor, la mer et les îles du Frioul .....

 

Au niveau 1 : 1 600 m2

 pour la Galerie de la Méditerranée

> Au niveau 2 : 2 000 m2

 d’espaces d’expositions temporaires

 Au dernier étage du MUCEM, un restaurant « La Table » et un bistrot « La Cuisine » avec une vue sur la Méditerranée.

 

 

samedi 10 août 2013

Le MuCEM à Marseille

Le musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée (MuCEM) est un musée situé à Marseille. 

Il a ouvert ses portes  le 7 juin 2013 lors de l'année de la Capitale européenne de la culture.

Le musée est construit sur le site du fort Saint-Jean et du môle J4 du port de la Joliette.

 

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 Surplombant la darse entre ces deux sites, une passerelle de 130 m de long relie le fort au musée.

 Une autre passerelle relie le fort Saint-Jean à l'esplanade de la Tourette.

 Le bâtiment est accolé à la villa Méditerranée.(ICI)

 

jeudi 8 août 2013

Les Tsingy de Bemaraha

Après la navigation sur le fleuve Manambolo nous prenons la piste pour les Tsingy. Nous passons devant un barrage en construction.

La piste est très mauvaise, on ne peut même pas la qualifier de piste tellement elle est défoncée .

 

La réserve  du Tsingy de Bemaraha est une région de l'Ouest de Madagascar inscrite depuis 1990 sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.

 

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Un paysage karstique et un massif calcaire fortement déchiqueté forment un « tsingy » ou « forêt » d'éperons calcaires, paysage unique au monde.

En malgache, tsingy signifie « où l'on ne peut marcher pieds nus ». 

Ces roches calcaires ont été formées par un dépot de fossiles et de coquillages morts sous la mer il y a 200 millions d'années.

Souvent surnommées : la forêt de pierres ou la mer de pierres...

 

mercredi 7 août 2013

La forêt des Tsingy (1)

Nous entrons dans la forêt qui longe les Tsingy.

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Certains arbres sont étouffés par des lianes parasites impressionnantes par leur taille.

On aperçoit un coua  géant (oiseau) endémique à Madagascar.

............. Le coua géant est l'un des plus gros oiseaux de sa famille et le plus grand représentant de son genre.

..............Au delà de sa taille, on peut le reconnaitre à son plumage brun olivatre sur les ailes, virant à l'orangé sur le ventre, sa queue noire ornée de taches blanches et sa tête également noire, dont les yeux sont entourés d'une large zone de peau nue bleue virant au rouge foncé. 

 

Sur un arbre c'est une tourterelle verte qui attire notre attention.

A l'orée de la forêt plus loin nous avons vu des tourterelles masquées ou tourterelles au masque de fer.

 

dimanche 4 août 2013

Les Tsingy (3)

Les cactées telles que les euphorbes et les pachypodium dominent sur les Tsingy élevés et arides.

 L’Euphorbia ankaranensis.

C’est une espèce des Tsingy, une herbe à tronc très rugueux et épineux. Elle est endémique de la Réserve, sa fleur est rouge.

On la voit sur les Tsingy, poussant entre les rochers.

 

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La végétation qui a colonisé les  Tsingy est du type xérophile, c'est à dire adaptée à de longues périodes sans apport d'eau.

 

On y trouve aussi l' euphorbe du genre Euphorbia viguieri est une espèce endémique de Madagascar.

 

Sans oublier le  kalanchoe , L’Adenia lapiazicola.

Cette liane en forme de dame-jeanne sert de réserve d’eau en saison sèche.

On la voit sur les Tsingy, entre les rochers.

 

jeudi 1 août 2013

Descente du Manambolo (2) Madagascar

 Dans le silence impressionnant des gorges, nous continuons notre descente : long défilé de falaises aux parois verticales creusées par la rivière...

Revenons sur le peuple Vazimba dont on a vu un de leur tombeau dans le précédent diapo .

 

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Selon certaines croyances populaires, les Vazimbas auraient été des personnages mystérieux ayant vécu dans les forêts des hauts plateaux centraux de Madagascar  à une époque très lointaine.

 Ils suscitaient chez certains anciens Malgaches aussi bien de la crainte que du respect.

 L'imagination populaire les a transformé en êtres mythiques, hors du commun et déconcertants, ou encore en forces invisibles pouvant hanter une source, une rivière, un rocher, un bosquet ou un vallon. 

 

Les Tsingy de Bemaraha (2)

Les Tsingy offrent l'un des paysages les plus spectaculaires de la Grande Île..

C'est un vaste plateau calcaire que l'érosion pluviale a hérissé de spectaculaires lapiaz - arrêtés et crêtés acérées qui a donné le nom de Tsingy en Malgache.

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Les plantes  se sont adaptées au climat aride.

Pour les unes, les feuilles se sont transformées en épines pour retenir l’eau .

Pour les autres, les troncs se grossissent pour emmagasiner l'eau.

Certaines plantes assèchent leur appareil végétatif et vivent au ralenti avant la saison pluvieuse.

Enfin, d’autres plantes ont tout simplement choisi de réduire leur taille et deviennent des arbustes nains. Malin, non ? 

 

Parmi les plantes on peut voir des euphorbes, des cactus, des pachypodiums (également dans le diaporama précédent et suivant )

 

La Sainte Baume, balade en Provence (2)

La forêt "relique" de la Sainte Baume.

Pour accéder à la Grotte de la Madeleine, il faut donc monter pendant plus d'une demi heure à travers une forêt épaisse, exposée au nord, à l'abri de la falaise.

Humidité, mousses y dominent.

Promenade agréable l'été. D'ailleurs de nombreux Marseillais la fréquentent en été.

Cette forêt serait ce qu'il reste de la forêt qui pouvait couvrir la Provence à la fin de l'ère tertiaire.

 

 

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L'arrivée à la grotte : la 13e station du chemin de croix fut mise en place en 1932 mais demanda plusieurs années pour sa réalisation.

 

Avant de pénétrer dans la grotte, un panorama s'offre aux visiteurs : St Victoire, Mt Ventoux, Lubéron...

 

En route pour les TSINGY

Après la traversée de la Tsiribihina, nous retrouvons donc notre guide et nous prenons la piste en direction de Bekopaka.

En cours de route, lors d'un arrêt "technique" que voit-on au dessus de nos têtes ???

un lémurien.

Trop mignon !!!

Après quelques photos nous reprenons la piste pour le village.

 

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Le village de Bekopaka occupe une situation privilégiée grâce à la proximité immédiate du magnifique plateau du Bemaraha (classé Patrimoine Mondial par l’Unesco) et de ses “Tsingy” totalement préservés.

Sur notre intinéraire un fleuve à traverser :  le Manambolo.

Ce fleuve , nous le traversons sur un bac, mais différent de ceux vus sur la Tsiribihina.

 

 

Navigation sur le Manambolo......voyage à Madagascar

Le Manambolo est un fleuve du versant ouest de Madagascar. Il se jette dans l'océan Indien.

Le fleuve Manambolo coupe le plateau de Bemaraha d’Est en Ouest à travers de superbes gorges dans le calcaire.

Ces dernières se visitent en pirogue depuis le village d’Andadoany près de Bekopaka.

Je vous invite à prendre place dans notre frêle embarcation...

 

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La navigation dans la gorge de Manambolo permet d’apprécier les falaises abruptes de 50 à 80m de hauteur. 

La largeur du fleuve varie de 40 à 100m. 

Dans certaines grottes on peut trouver chauve souris frugivores , difficiles à photographier d'ailleurs ..

De loin on peut apercevoir des tombeaux des « vazimba », petits hommes ,ancêtres des Malgaches.

 

Massif de la Sainte Baume en Provence

Le massif de la Sainte Baume se présente sous la forme d'une imposante crête formée de roches calcaires  s'élevant à plus de 1100 mètres d'altitude.

 

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La forêt de la Sainte Baume fut de tout temps protégée.

En 1299 le pape Boniface VII interdit, sous peine d'excommunication de toucher aux arbres.

De nos jours elle est gérée par l'Office National des Forêts (O.N.F.) 

A l'ombre de la falaise, la hêtraie pluri-centenaire cohabite avec les ifs et les houx. Des clairières sont créées par la chute de vieux  hêtres et permettent la germination et la croissance de différentes espèces en mélange : hêtres, érables, tilleuls..

 

Nous allons suivre l'itinéraire classique qu'empruntaient à partir de Nans les pins, rois, reines, papes, simples pélerins pour se rendre à la Sainte Baume après être aller s'incliner sur la tombe de Marie Madeleine à Saint Maximin.

http://i1252.photobucket.com/albums/hh578/chevrette13/REGION/DSCN7987_zps97821240.jpgIl a été ouvert en 1295, lorsque les pères Dominicains s'installèrent à la Sainte Baume.

Il doit son nom aux personnalités illustres qui l'utilisèrent.

(clic photo)