La plage du Tréport est caractéristique de la Haute-Normandie avec sa plage de galets située au pied des falaises de craie. Parallèle à la plage, une grande esplanade longe le bord de mer et au bout la digue avec son phare.
Phare qui surveille l'entrée du port. Pour les artisans pêcheurs basés au Tréport, l’année se décline en différentes espèces de poissons, tantôt la sole ou le carrelet, tantôt la crevette, le merlan, le rouget ou la seiche et bien d’autres. Cette pêche pratiquée aux arts trainants par de petits bateaux reste essentiellement dans les zones proches des côtes. On y recense près de 70 bateaux.
Une autre façon de découvrir la Camargue : la balade à bord du TIKI III à partir des Stes Maries de la Mer.
C'est un bateau typique à roue qui navigue de l'embouchure du Petit Rhône au Bac du Sauvage . Pour rappel, cette région est composée de deux parties : le le Nord avec des terres agricoles et le Sud composé de marais et de plans d'eau salée qui forment un écosystème particulier.
Le quartier des Cordiers L'ancien Hôtel de Ville fut construit en 1882, sur une ancienne porte de la ville (1565), dont la voûte est toujours visible, et qui donnait autrefois accès à la grève.
c'était un quartier populaire surtout habité par les pêcheurs. Une grande fresque murale rappelle l'histoire du village. L'Eglise St-Jacques Bâtie sur les ruines de l'ancienne église paroissiale et le cimetière, effondrés au cours de la tempête de 1360, l'Eglise St-Jacques verra sa construction achevée dans ses formes actuelles, à partir de la 2e moitié du XVIe siècle.
Le funiculaire tréportais a été inauguré le 29 juin 1908. Créé pour relier les terrasses du haut des falaises à la ville basse, il devient dès 1912 le transport pour mener les visiteurs et estivants au grand hôtel "Le Trianon" avec golf et tennis.
La traction électrique permettait d'effectuer la montée en 2 minutes et demi.
Construit au début du XXe siècle pour relier la ville haute à la ville basse, cet outil a été remis en service par la municipalité en 2006. Désormais équipé de 4 cabines transportant chacune 10 personnes, il transperce la falaise et vous permet d'aller du sommet à la plage en mois de 5 minutes. L'utilisation est entièrement gratuite.
Il existe environ 250 espèces de Figuiers et 3 groupes de couleurs de figues (blanches ou vertes, grises ou rouges, noires ou violet foncé) Les variétés bifères donnent 2 récoltes par an et les variétés unifères produisent une seule récolte à l'automne .
Lors de la fête, des figuiers étaient en vente ainsi que des figues. Mais on pouvait trouver confitures, tartes, saucissons, pains, pâtés.....à la figue.
Un petit mot sur l'église : Cette église qui date de la deuxième moitié du 17ème siècle s'est écroulée en 1708 et a été reconstruite entre 1726 et 1734, d'après un projet de Joseph Pomet.
Une ville aux allures Moyenâgeuses avec ses remparts, ses tours, ses portes, son château-fort, son église, ses places et ses rues étroites, pavées, encadrées par des maisons à colombages et à encorbellement datées du 15ème et 16ème pour les plus anciennes.
La porte de Nevers (ou « Porte du Bas ») : Datée du 16ème , c’est une construction haute, à pignon pointu en briques, les grés et les galets à sa base sont d’origine plus ancienne. Au dessus, subsiste un blason portant les armes du Duc de Gonzague-Nevers, surmonté de la devise « fides »qui fut longtemps celle de la Ville, en souvenir de la participation de la milice communale à la bataille de Bouvines (1214).
L’église Saint Martin : D’allure élégante avec des murs en damier, alternant silex taillés et pierres, composée de 2 nefs identiques, 1 tour massive épaulée de contreforts et une toiture en flèche qui fut remplacée en 1786 par une toiture pyramidale. Elle subit quelques vandalismes, notamment pour le mobilier lors de la révolution : tableaux et chasse brûlés, cloches fondues…En 1845 est rajoutée à l’édifice une bâtisse rectangulaire en briques pour donner accès au clocher.
Le Courtgain L’origine du mot vient de « petit salaire » et désigne le pittoresque quartier des marins, traversé par deux petites rues parallèles : la rue des Moulins et la rue des Pilotes qui se terminent non loin du Calvaire des marins et de son oratoire d’où le point de vue est superbe.
Les maisons datant de la fin du 18ème et début du 19ème , serrées les unes contre les autres, construites en briques, avec des parties en torchis, au soubassement noir, et aux couleurs chatoyantes, respectent encore la tradition séculaire des marins pêcheurs qui s’embarquaient sur les « sauterelliers » pour pêcher la crevette grise. On y célèbre chaque année la fête de la mer.
Solliès-Pont ( à 12 km au nord de Toulon ) est la première localité à approvisionner Paris en cerises et figues fraîches.
Culture ancestrale importée par les Phocéens, le figuier jouit d'un microclimat spécifique et de sols privilégiés arrosés par le Gapeau que valorisent des savoir-faire locaux pour donner à la figue de Solliès toute sa richesse gustative. Petit tour de ville, vous apercevrez durant le diapo un couple qui chantait (dernièrement j'ai reconnu cette dame à "n'oubliez pas les paroles"..)
Les Quais La plupart des Quais de St Valery portent le nom de célèbres Capitaines, qui ont servi sur des navires de guerre à la Révolution ou sous Napoléon, (Lejoille, Blavet, Pérée…). Ils sont bordés par des luxueuses demeures du 19ème qui appartenaient à plus de 80 familles d’armateurs et de Capitaines de Saint Valery.
Au bout du quai Jeanne d’Arc, le plus récent avec le Quai Courbet (1860), se situe la plage, nommée autrefois « les Bains de la Ville » où toute la bonne société Parisienne venait en villégiature, logeait dans les somptueuses Villas (1900), se promenait sur les pontons de bois, se changeait dans les cabines ou écoutait de la musique sur le kiosque de la Tour Harold.
La Côte d'Albâtre doit son nom aux 140 km de falaises crayeuses comprises entre l'Estuaire de la Seine et celui de la Somme.
Fécamp est une des premières stations balnéaires à se doter, dès 1832, d’un établissement de bains et d’un casino. La saison estivale attire journalistes, hommes politiques, aristocrates et mondains, et à leur suite quantité de peintres. Le premier port de Saint-Valery-en-Caux fut creusé au XIIIe siècle ! Aujourd'hui, plus de 600 bateaux de plaisance peuvent s'y abriter.
Cayeux sur mer le nom picard Cayeux signifie Caillou et son l’histoire est liée à celle du galet, richesse minérale de la baie de Somme... Le chemin de planches de deux kilomètres, bordé de cabines de plage au décor souvent personnalisé, est le plus long d’Europe. On peut suivre la plage sans jamais fouler les galets, comme au siècle dernier.
La réputation de Grasse, ville des parfums depuis le 17ème siècle, aujourd'hui capitale mondiale de la parfumerie, n'est plus à faire.
De la place des Aires, avec ses maisons à arcades et sa fontaine Louis XV, on peut accéder aux ruelles tortueuses, souvent en escalier.
La tour Sarrasine carrée, des vestiges de remparts du 16ème siècle, l'hôtel de ville installé dans l'ancien palais épiscopal, les maisons médiévales surélevées aux 17 et 18ème siècles, de superbes hôtels particuliers (hôtel de Cabris, de Pontevès, Court de Fontmichel) et de belles villas du 18ème siècle … ou encore le casino Belle Époque (aujourd'hui transformé en palais des congrès)...nous attendent dans cette ville.
les falaises d'Etretat sont mondialement connues. La Porte d'Aval, immense arcade de silex, a été creusée par les vagues en battant l'extrémité de la falaise. Comment ne pas rendre hommage au sens aigu de l'observation de Maupassant qui dans Bel-Ami compare l'arche d'Aval à un éléphant trempant sa trompe dans la mer ? Tout y est : la trompe, la tête et ses oreilles, les membres antérieurs et postérieurs et même un palanquin de Maharadjah sur son dos !
La Manneporte, encore plus monumentale, est située de l'autre côté de la Porte d'Aval, au bout de la plage de Jambourg. Guy de Maupassant prétendait qu'un navire aurait pu y passer dessous toutes voiles dehors.
L'Hôtel de Ville fut érigé au XVIIIe siècle par les moines bénédictins de l'abbaye Saint-Ouen à laquelle il est accolé. La loggia et les deux ailes de la façade ouest donnant place du Général de Gaulle sont plus tardives, datant du début du XIXe siècle lorsqu'il fut décidé de donner à cet édifice sa fonction actuelle.
On peut voir à droite de l'hôtel de ville l'Église Saint-Ouen. C'est l'une des plus grandes églises de France qui sert aujourd'hui de lieu d'expositions et de concerts.
Hôtel d'Étancourt, construction à pan de bois du XVIIe siècle, situé à l'origine entre la rue aux Ours et la rue du Gros-Horloge et aujourd'hui transféré rue d'Amiens. (15 statues de plâtre représentant les dieux de l'Olympe et les 4 éléments ornent le 1er étage de la façade)