CARTHAGENE - procession (4)

 Les confréries de Carthagène sont  divisées en groupements qui fonctionnent en autonomie.

Cependant ces groupes défilent selon un modèle commun à toutes les processions.
Ainsi le régiment des pénitents ( parés de riches vêtements de velours et de satin, brodés d'or, composés d'une tunique, d'une cape et d'une capuche pointue maintenue raide par un support intérieur) avance en deux files parallèles au rythme d'un tambour à résonance fortement militaire.

TOULOUSE - Saint Sernin

Sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle, la basilique Saint-Sernin, chef d’œuvre d'art roman, est inscrite parmi les joyaux du patrimoine mondial (UNESCO).

 Elevée en l’honneur de Saint Saturnin (ou Sernin), premier évêque de Toulouse, sa construction s’est étalée du XIème au XIIIème siècle.

 A l’intérieur, 5 amples nefs voûtées convergent vers le chœur et le baldaquin de bois doré et de marbre.
La basilique Saint-Sernin contient les reliques de nombreux saints 

................JOYEUX NOEL.................

CARTHAGENE - procession (3)

Nous continuons notre découverte des processions de la ville

 Les pénitents sont également remarquables : ce sont généralement des enfants, dont le visage est découvert, qui distribuent parmi le public des souvenirs de chaque confrérie et des friandises. 

Pratiquement tous les cortèges ont lieu la nuit, la plupart partant et retournant à l'église de Santa María de Gracia.

C'est aussi un grand défilé historique (riche en costumes d'époques), .... Carthaginois et Romains ont été les deux principales civilisations à l'origine de Cartagena.
 Vous pouvez y assister confortablement assis en différents endroits du parcours à condition d'emprunter les rues parallèles.
 Le prix de la place assise varie selon la zone et le jour.

TOULOUSE - les Jacobins (2)

On accède ensuite au cloître doté de colonnettes en marbre. 

Ses chapiteaux sont sculptés d'animaux et de végétaux. 

La chapelle Saint-Antonin, édifiée comme chapelle funéraire du frère Grima, est ornée d'une jolie décoration murale. 
On distingue des anges musiciens.
 Dans la salle capitulaire voisine, il reste peu de traces de sa décoration initiale.
 Le grand réfectoire, à la charpente dotée d'arcs colorés, connaît aujourd'hui une seconde vie en accueillant des expositions temporaires.

TOULOUSE - les Jacobins (1)

Couvent dominicain édifié à partir de 1229, les Jacobins constituent un témoignage exceptionnel du gothique méridional.
 Cette architecture de briques applique les principes élaborés pour les cathédrales du royaume de France.

 Son église abrite les reliques de Saint-Thomas d’Aquin. 

On peut y admirer le célèbre "palmier" des Jacobins et ses 22 nervures soutenant le chœur de l’église.
La célèbre voûte en palmier peut être admirée en levant juste la tête ou en regardant dans le miroir en contrebas. 

TOULOUSE - centre ville

Balade dans le centre ville de Toulouse. Nous prenons la rue St Rome, petite rue où il faut lever la tête et regarder l'architecture de certaines maisons...

Au cours de la balade arrêt devant l'Hôtel d'Assézat à 800 m du Capitole.

Chef d’œuvre de la renaissance classique, l’Hôtel fut édifié pour Pierre d’Assézat, marchand pastelier et capitoul de Toulouse.
 L’édifice légué à la ville de Toulouse en 1895 accueille les académies et sociétés savantes dont les Jeux floraux créés en 1323. Le collectionneur argentin Georges Bemberg, fasciné par le lieu, le choisit pour exposer sa collection exceptionnelle d’œuvres d’art et créa la Fondation Bemberg inaugurée en 1995, sans cesse enrichie par de nouveaux achats

TOULOUSE (4) - Bords de la Garonne

..........BORDS DE LA GARONNE....

les quais
Lieux de rendez-vous par excellence, les quais, situés en contrebas de la ville, sont délimités par un mur en brique, témoin des opérations d'urbanisme et d'embellissement du XVIIIe siècle.

  En face
La Grave était un hospice qui hébergeait les pestiférés avant de devenir un hôpital. La chapelle Saint-Joseph (XVIIIe siècle) se distingue de l'ensemble avec son impressionnant dôme de cuivre.

Le pont neuf
Lancée dès le XVIe siècle pour permettre un accès plus aisé entre les deux rives, la construction du pont Neuf a duré près de cent ans. Grâce à ses grands « dégueuloirs » qui facilitent le passage de l'eau sans faire pression à l'ouvrage, le pont a su résister aux crues dévastatrices de la Garonne. Il offre un beau panorama du fleuve et de ses rives.

Notre dame de la Daurade
La décoration de l'église du VIe siècle a donné son nom à l'actuel édifice, « deaurata » signifiant « recouverte d'or ». La façade à l'allure de temple date du XIXe siècle. À l'intérieur, on peut découvrir une Vierge noire, parée de robes luxueuses variant selon les temps forts de la liturgie.

DEPART.....

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CARTHAGENE - procession de nuit (2)

Carthagène est marquée par la « rivalité » entre les deux principales confréries de la ville : les marrajos et les californios.

 L'origine des premiers, de couleur mauve, remonte au début du XVIIe, tandis que la confrérie des seconds, de couleur rouge, a été fondée en 1747. 

 Ces dix jours de processions offrent des singularités comme l'exubérante décoration florale des « pasos » (autels portatifs) ou la représentation de l'histoire de la Passion de façon chronologique.

CARTHAGENE - procession de nuit (1)

La Semaine sainte est l'une des festivités les plus impressionnantes à Carthagène.

 La dévotion, l'art, les couleurs et la musique se mêlent pour  commémorer la mort de Jésus Christ sous forme de  processions.

 Les membres des différentes confréries, vêtus de leurs costumes caractéristiques, parcourent les rues au rythme des tambours et de la musique, donnant lieu à des scènes d'une beauté austère.

TOULOUSE (3) - le Capitole 2

La Salle des Illustres

La salle des Illustres mesure plus de soixante dix mètres de long et se prolonge sur toute la façade du Capitole. Classée monument historique en 1994, les superbes peintures qui ornent son plafond ont été restaurées en 1999. 
La salle expose également les bustes de personnages célèbres toulousains .

Elle accueille aujourd’hui les mariages toulousains.


Les autres salles de l’étage du Capitole abritent des peintures du XIXe et début XXe siècle .