Le centre de la ville est en grande partie une longue rue principale qui est agréable à explorer avec les maisons traditionnelles maintenant souvent repris par les bars, cafés et boutiques de luxe.
Le monument le plus imposant de Propriano est l'église de notre-Dame de la Misericorde qui domine le centre de la petite ville.
3 architectes sont à l’origine de sa création.
Il leur en a fallu du temps pour la construire : 17 ans ! Quand l’extension du port de Propriano a démarré, la population s’est vue doublée, obligeant les constructeurs à remplacer l’ancienne chapelle devenue trop étroite pour accueillir les fidèles. Construite de 1864 à 1881, la majestueuse Eglise Notre-Dame de la Miséricorde, qui s’illumine durant la nuit, domine aujourd’hui Propriano et le Golfe du Valinco.
Autrefois, cette danse était exclusivement réservée aux rois khmers et à leurs cours.
Les aspara sont en fait des esprits féminins dans la mythologie bouddhiste et hindouiste, dotées d’une beauté surnaturelle.
Médiatrices entre le ciel et la terre, elles sont toujours jeunes, élégantes, gracieuses et surtout douées pour la danse. Elles sont souvent épouses de musiciens royaux .
Elles dansent ainsi sur leurs musiques dans les palais pour divertir et séduire les dieux et les hommes. Ces costumes traditionnels sont magnifiques et fleuris.
Dès les premiers voyageurs venus visiter la cité d’Angkor au 19e siècle, cette danse traditionnelle est rapidement devenue coutume pour accueillir les visiteurs de passage.
Nous quittons Ajaccio et prenons la route direction Propiano par la côte.
Arrêt photo à Punta di Setta Nave.
La marine de l'Isolella sur la Punta di Sette Nave est surveillée, ainsi que la pointe, par la tour génoise qui domine sept îlots de granit rose.
À l'origine du nom " Sette Nave ", ces îlots seraient les sept galères pétrifiées de pirates barbaresques.
Puis direction Propriano
Propriano, village de pêcheurs fondé par les Génois en 1640, est devenu au fil du temps une petite station balnéaire très animée et touristique entre Ajaccio et Bonifacio.
A la Parata le vent et les embruns façonnent le paysage végétal.
Chaque espèce de plantes s'adapte au vent et au sel.
La majeure partie du paysage est constituée de maquis.
Balayé par le vent et les embruns, il se présente sous la forme d'une masse compacte de feuillages dans laquelle s'imbriquent les lentisques et les calycotomes velus ou plus rarement les filaires à feuilles étroites .
D'autres variétés encore :les oliviers sauvages, les myrtes, les bruyères arborescentes...
Pour une visite complète de Siem Reap, il faut que vous assistiez à un spectacle de danse traditionnelle khmère.
La danse apsara est une élite de la culture cambodgienne.
Le dos cambré, les mains courbées défiant les lois de la physique et la tête parée d’une coiffe aux mille éclats, cette danse est d’une sensualité envoûtante inégalée.
Ces douces chorégraphies vous captivent et vous ensorcellent. C’est le fruit de l’apprentissage d’une danse qui débute dès l’enfance. Les danseuses apsara vous racontent une histoire. Chaque geste de la main symbolise les principales étapes de la vie dans la nature.
Située au Nord-Ouest du golfe d'Ajaccio, la pointe de la Parata semble s'élancer vers la mer. Elle est prolongée par un magnifique archipel d'îlots très morcelés: les îles Sanguinaires.
La Pointe de la Parata, au sein de l’archipel des Sanguinaires fait partie du Réseau des grands sites de France.
La tour génoise a été édifiée en 1550 par Giacomo Lombardo, chef maçon génois.
Elle était défendue par trois torregiani (un chef et 2 soldats).
La cathédrale est située dans la vieille ville. Sa construction débute en 1577.
Elle est achevée en 1593 sous l’épiscopat de Monseigneur Giulio Giustiniani dont les armoiries figurent au dessus du portail en marbre de Carrare.
A l’intérieur, la cathédrale est notamment remarquable par son maitre autel offert en 1811 par Elisa, sœur de Napoléon.
Plusieurs chapelles latérales présentent de l’intérêt : La chapelle de la Madonna del pianto (première à gauche en entrant) où se trouve un tableau d’Eugène Delacroix : la vierge au sacré cœur.
La deuxième chapelle est dédiée à notre dame de la Miséricorde, patronne d’Ajaccio car elle sauva la ville de la peste en 1656.
A côté se trouve la chapelle consacrée à notre Dame du Rosaire. C’est ici, sous cette chapelle que les Bonaparte avaient leur tombeau.
Neak Pean est une petite île circulaire artificielle dominée au milieu par un temple bouddhiste.
Les quatre bassins représentaient donc l’eau, la terre, le feu et le vent. Par le simple fait de s’y baigner, ils croyaient que les eaux avaient une vertu médicinale pouvant ainsi arranger leurs problèmes. De ce fait, le temple fut, dès sa construction, considéré comme un hôpital public.
Le temple Ta Som est situé à l'est du temple Neak Pean - c'est un seul sanctuaire (plat, non élevé du sol) entouré de trois murs.
Au fond du temple, au niveau de l'enceinte extérieure, un figuier étrangleur enserre de ses puissantes racines les vestiges du gopura oriental pour le plus grand bonheur des amateurs de photos !!
La place De Gaulle (ou place du Diamant) marque la séparation entre la vieille ville et les nouveaux quartiers.
Face à la mer,vous pouvez admirer le monument (1865) dédié à Napoléon et ses quatre frères édifié sur les plans de Violet-le-Duc. En raison de sa forme, il fut surnommé "l'encrier".
La statue de Napoléon 1er à cheval, vêtu à la romaine est l'œuvre du sculpteur BARRY, Lucien celle de THOMAS, Joseph et Louis de PETIT et Jérôme de MAILLET.
La modeste bibliothèque Fesch d'Ajaccio s’est avérée une caverne d’Ali Baba remplie de trésors oubliés ...Elle se trouve non loin de la maison natale de Tino Rossi
La place d Austerlitz, dite du Casone en souvenir d’une ancienne bâtisse, est le lieu ou selon la légende, Napoléon se rendait durant son enfance.
A l’abri sous de grands rochers, d ‘ou le terme de « Grotte Napoléon », ce jeune garçon fasciné par les grands personnages de l histoire rêvait alors de conquêtes et de gloire….La statue de Napoléon en habit de colonel de la garde est l'œuvre du sculpteur Seurre.
Elle est la réplique de la statue se trouvant aux invalides.
Le monument inauguré en 1938 rappelle sur son plan incliné les victoires et les réalisations de l'empereur.
La statue est au sommet d'une pyramide à degrés en granite qu'il est possible de gravir par un escalier encadré par deux aigles.
Les dates « 1769 » et « 1821 » correspondent à la date de naissance et de mort de l’Empereur.
Au centre, le temple est entouré d'un mur d'enceinte de 210 m sur 160 m muni aux quatre points cardinaux d'importants pavillons d'entrée dont le plus complexe est celui de l'Est précédé d'une grande terrasse d'accès.
L'enceinte du temple comprend de nombreux édifices annexes dont une « salle aux danseuses », des bassins, des « bibliothèques », des « cloîtres » interconnectés par des galeries que l'on doit traverser pour atteindre l'enceinte du sanctuaire, lui-même un entrelac dense de galeries et de salles à colonnades entourant la tour-sanctuaire centrale.
Racines tentaculaires.
Deux arbres géants ont poussé sur la toiture d'un gopura. Leur grande hauteur et leur position inclinée défient les lois de l'équilibre, car ils sont uniquement « amarrés » par leurs longues racines qui coulent de la toiture pour serpenter ensuite sur le sol.
Après le marché, petit tour dans la vieille ville d'Ajaccio.
Labellisée « Ville d’art et d’hi stoire » en 2012, Ajaccio c’est à l’origine une cité génoise avec son centre historique coloré. C’est aussi une ville impériale où naquit Napoléon. Dans le centre ville on peut trouver la maison dans laquelle il naquit et vécut (aujourd'hui un musée).
parlement de corse =Construit entre 1894 et 1896 par l'architecte Barthélémy Maglioli, le Grand Hôtel est aujourd'hui le siège de la Collectivité de Corse.
Après la traversée en Ferry nous voici enfin à Ajaccio.
Nous nous dirigeons tout de suite vers la place Abbatucci. Chaque matin, le marché se compose de divers artisans proposant des produits locaux. Fruits et légumes, poissons, charcuterie y sont en vente.
On est déjà dans l'ambiance gustative.
Cette place célèbre la mémoire d’un des plus grands soldats corses, fauché en pleine gloire, contemporain de Napoléon Bonaparte, et un des plus fidèles serviteurs de la France pendant les guerres de la Révolution.
Le général Jean Charles Abbatucci fait partie des 558 officiers d'Empire à avoir son nom gravé sous l'Arc de triomphe.
Village-étape très connu du GR700 Voie Régordane, la Garde-Guérin est aujourd'hui un site touristique particulièrement attractif.
Sur place, la haute tour de guet, jadis entourée de remparts dont on peut voir encore de très beaux restes.
Château et village restaurés formant un bel ensemble médiéval remarquablement homogène.
Ce fut jadis le domaine des « chevaliers pariers », une très originale association militaire, sorte de milice policière qui protégeait et guidait les voyageurs de la Régordane.
Ils furent jusqu'à trente, relevant de statuts minutieux et précis, réglant charges et distributions de revenus.
Envahi par les racines de fromagers géants, Preah Khan demeure un exemple remarquable d’architecture de plain pied dite de style « complexe monastique ».
Malgré les pillages dont il a été victime au cours des décennies passées, comme bien d’autres sites, le Preah Khan témoigne toujours de sa splendeur à travers ses magnifiques vestiges.
Une allée monumentale soulignée de bornes jadis sculptées de bouddhas qui fut détruite par les prêtres brahmanes lors de la réaction hindouiste sous Jayavarman VIII nous accueille.
La Terrasse du Roi lépreux est située au nord de la Terrasse des éléphants.
Sa façade de grès d'environ 25 m de côté et 6 m de haut formant grossièrement un « U » est entièrement ornée de bas-reliefs très ouvragés représentant le panthéon hindouiste dont les omniprésents nagas(serpents), garudas(homme oiseau) et kumbhandás (demi-dieu).
Cette terrasse du Roi Lépreux doit son nom à une petite statue asexuée que l'on pense être la statue du roi Yasovarman qui serait mort de la lèpre. Mais l'autre explication est que cette statue représenterait Yama, le dieu des morts, et la terrasse du Roi Lépreux aurait été en fait un crématorium royal.
Le temple PRE RUP était consacré à Shiva.
C’est un temple montagne, c’est à dire qu’il s’élève comme un pyramide et son ascension demande un peu d’effort vu l’état des marches.Il est plus ancien que d’autres temples du site.
La réserve naturelle nationale des marais du Vigueirat est une réserve naturelle nationale située en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Classée en 2011, elle occupe une surface de 919 hectares à la jonction du delta du Rhône et de la plaine steppique de la Crau.
Ouverts au public toute l’année, les Marais du Vigueirat se découvrent en visite libre sur les sentiers de l’Etourneau.
La réserve propose également des visites en calèche tirée par des chevaux de trait.
Il s’agit d’une terrasse d’apparat royal qui, de ce fait, renferme l’histoire des événements célèbres de la cité d’Angkor au Cambodge.
Elle fut spécialement conçue pour le roi puisse assister tranquillement les spectacles et les parades des soldats et des éléphants.
On y compte exactement cinq escaliers dont trois au milieu et un à chaque extrémité.
Les escaliers sont gardés par des balustrades nagas (serpent)
Le Mebon oriental est un temple datant du Xe siècle à Angkor.
Construit sous le règne du roi Rajendravarman II, il se distingue en ce sens qu’il est construit sur ce qui était une île artificielle (au même titre que le Mebon occidental) au centre d’un réservoir aujourd'hui à sec.
Le Ta Prohm était un vaste monastère bouddhique qui couvrait 60 h. Il se composait de deux parties :
* La première, la plus importante avec une surface de 55 ha, permettait, si l'on en croit l'inscription trouvée dans le monument, de loger 12 640 servants.
* L'autre partie, avec moins de 5 ha, était réservée au Temple proprement dit.
Le végétal et le minéral sont devenus inséparables.
Les racines des fromagers et des ficus emprisonnent les ruines, les pierres...jusqu'à détruire des murs.
Le bourg de Saint-Côme est classé Plus Beau Village de France.
Situé au pied de l’Aubrac, Saint-Côme-d’Olt est un village dont la physionomie quasi circulaire, a gardé son caractère médiéval.
Son tour de ville s'est façonné autour des anciens remparts devenus les façades extérieures des maisons.
Trois portes d'entrée fortifiées; la Porte de la Barrieyre, du Théron et de la Porte Neuve permettent d’accéder à son centre, au travers de ruelles et de venelles très typées.
Il abrite en son centre les deux monuments primordiaux du site: son église au clocher tors et son château, ancien manoir des sires de Calmont construit au XIe siècle.
Attirant des milliers de touristes et rendu célèbre après le film Tomb Raider, le temple Ta Prohm compte parmi les plus populaires sur le site d’Angkor, au Cambodge.
Ayant conservé son authenticité et son aspect initial, le temple est niché dans les jungles de Siem Reap, à quelques kilomètres à l’Est d’Angkor Wat.
LA MOSTRA ET LES STARS DES ANNÉES 60 aux carrières de lumières des Baux de Provence.
Changement de décor pour pénétrer dans le monde de la photographie. Les belles vénitiennes des temps anciens cèdent la place aux photographies des jeunes actrices italiennes ou internationales du cinéma.
La Mostra del cinema, importante manifestation célébrant le 7e art, véhicule l’image d’une Venise glamour sur la scène internationale des années 1960.
En parallèle de « Venise, la Sérénissime »
« Yves Klein, l’infini bleu » un programme court met à l’honneur cet artiste majeur du XXe siècle qui souhaitait faire de sa vie une œuvre d’art.
On y découvre, entre-autre, l’empreinte du corps avec ses Anthropométries.
Route en tuk tuk pour un autre temple du complexe d'Angkor : Chau Say Tevoda
Sur la route : des singes, des hamacs pour se reposer...
Le temple de Chau Say Tevoda dispose d’un sanctuaire central, de deux bibliothèques et quatre gopuras (tour) qui sont les quatre points cardinaux .
Le temple a quelques sculptures finement réalisées et la plupart sont encore en bon état. Bien que la plupart des sculptures soit liées à l’hindouisme, il y a aussi des reliefs liés au bouddhisme qui ont été ajoutés par le roi Jayavarman VII.
Le Bayon est un sublime monstre de pierre, une majestueuse pyramide hérissée de tours irrégulières et gardées par des lions.
L’ÉNIGME DES TOURS À VISAGES
Ces énormes tours à visages sont présentes sur la plupart des temples de Jayavarma VII.
Le Bayon n’en compte pas moins de 59 ! Pour 47 d’entre elles, les visages sont orientés vers un point cardinal. A qui ces visages peuvent-ils bien appartenir ? Encore aujourd’hui, leur signification demeure un mystère. Plusieurs théories ont été émises.
Le Bayon se caractérise également par la richesse et la beauté de ses bas-reliefs. (bas reliefs plus nombreux dans le précédent diapo)
Les bas-reliefs extérieurs dépeignent des scènes de bataille, des processions royales, l’armée khmer en marche mais également des scènes de la vie quotidienne (pêche, chasse, cuisine, échanges commerciaux sur les marchés…) qui nous donnent un unique aperçu de la vie au sein d’Angkor . En revanche, l’intérieur du temple offre des bas-reliefs représentant des scènes de la mythologie hindouiste.
Le Bayon est le temple central de l'ancienne ville d'Angkor Thom, capitale des souverains khmers au début du XIIIe siècle. Il est situé à l'intersection des routes Nord-Sud et Est-Ouest.
C'est le dernier des « temples-montagnes » du site d'Angkor, bâti par, restaurateur de la puissance du royaume khmer d'Angkor après l'invasion des Chams. Sa décoration est d'une exceptionnelle richesse, à l'apogée de l'art bouddhique mahayana, elle est comme corsetée dans un périmètre extrêmement réduit d'environ 150 m de côté pour l'enceinte extérieure. Ce fantastique monument avec ses tours à visages fut dédié par le souverain au Bouddha dont il diffusa la doctrine.
Troisième volet sur les carrières de lumières consacrées à Venise.
À travers le thème de la noce, Véronèse met en scène un véritable festin où se distinguent 130 personnages.
Le sujet religieux issu de l’Évangile selon saint Jean cède ici la place à une célébration toute vénitienne, cosmopolite et moderne.
Le décor architectural peint par Véronèse s’efface progressivement pour laisser apparaître les superbes colonnes de la loggia du palais des Doges qui offre une ultime vision de la ville peinte à son apogée.
Quand on se balade à Angkor on tombe souvent sur des bandes de singes notamment autour d’Angkor Wat.
Ils sont très mignons mais aussi très chapardeurs… attention à vos sacs… surtout si vous avez de la nourriture, ils peuvent devenir agressifs même.
Bien que cette espèce soit souvent désignée sous l'appellation de macaque crabier, ce nom est mal choisi car son alimentation est loin de se limiter aux crabes.
C'est un omnivore opportuniste, c'est-à-dire qu'il peut manger une grande variété de nourriture carnée et végétale. Bien que les fruits et les semences représentent 60 à 90 % de son apport alimentaire, il se nourrit aussi de feuilles, de fleurs, de racines et d'écorces.
Angkor est devenu un site du patrimoine mondial en décembre 1992.
S’étendant sur 77 kilomètres carrés, la métropole d’Angkor renferme les magnifiques vestiges de l’incroyable empire khmer, qui englobait une grande partie de la région du Mékong du IXe au XVe siècle.
Au cœur d’Angkor se trouve le temple d’Angkor Wat.
Sans aucun doute, Angkor est une merveille du monde et un site d’une importance archéologique immense. Il est actuellement en cours de restauration par des équipes de différents pays, travaillant sous l’égide d’un comité international de coordination, présidé par les ambassadeurs japonais et français.
Deuxième volet sur les carrières de lumières des Baux de Provence avec comme thème Venise.
Carpaccio possède un sens de l’espace unique à l’époque. Ses vastes compositions s’appuient sur une parfaite maîtrise de la perspective.
Carpaccio s’inspire bien entendu de ce qu’il connaît, c'est-à-dire les cérémonies officielles vénitiennes.
Comme la plupart des artistes de son temps, les œuvres de Le Tintoret traitent principalement de sujets religieux. Il fut, sans aucun doute, l’un des artistes les plus populaires du milieu du XVIe siècle.
Le Titien est nommé peintre officiel de la République de Venise.
Titien s’est à la fois imposé comme le portraitiste des plus puissants de son temps (du pape à Charles Quint) mais aussi comme un peintre de la femme, sensible et sensuel.
Dédié à Vishnu, le temple fut ensuite converti au bouddhisme lorsque le royaume Khmer devint bouddhiste.
Le temple d’Angkor Wat continua à être utilisé par des moines bouddhistes aux XVème et XVIème siècle. Parmi les quelques statues que l’on peut encore voir à Angkor Vat, certaines sont des représentations de Bouddha.
Mais cet héritage exceptionnel est aujourd’hui menacé par l’érosion qui met notamment en péril les sculptures extérieures sujettes aux intempéries.
Certaines fresques sont également victimes de la “maladie du grès” qui menace de faire tomber des parties des bas-reliefs.
Si le temple nous apparait aujourd’hui gris, il faut imaginer Angkor Vat autrefois recouvert de couleurs. On trouve encore aujourd’hui quelques traces de peinture rouge dont les pigments ont résisté aux assauts du temps.
En revanche, les couleurs comme le blanc ou bleu ont disparu. Selon les chercheurs, les murs étaient autrefois recouvert de peinture blanche tandis que les toits étaient dorés. Angkor Vat devait sans aucun doute être spectaculaire.
LES DEVATAS, NYMPHES CÉLESTES
Les murs d’Angkor Vat offrent également des bas-reliefs et des linteaux aux motifs végétaux. Ils sont très adroitement sculptés et finement ciselés. Enfin, ce temple abrite 1832 devatas ! Tantôt parées de bijoux, de coiffures élaborées et de superbes costumes, elles sont un témoignage de l’art raffiné des khmers.
Egalement appelées Apsaras, elles sont des divinités féminines pouvant être décrites comme des nymphes, des courtisanes célestes qui charment les dieux par leur danse et leur chanson. Elles naquirent du barattage de la mer de lait.
Comme tous les autres temples Khmers, Angkor Vat (ou wat) fut construit en pierre, un matériau destiné à durer pour l’éternité. La pierre utilisée pour la plupart des temples d’Angkor était le grès extrait du mont Kulen situé à une vingtaine de kilomètres.
Les immenses douves du temple n’avaient pas seulement une fonction symboliques, elles occupaient aussi une fonction indispensable à la survie du temple:
l’eau entourant le temple permettait de réguler le niveau d’eau qui, trop élevé pendant la saison des pluie et se retirant pendant la saison sèche, menaçait de faire bouger les fondations du temple.
La visite fut très difficile à cause du nombre de touristes !!
Conçu dans le style d’Angkor Thom et de Bayon, Banteay Kdei reprend les architectures des temples-montagnes khmers. Il s’agit d’une version moins compliquée et plus petite.
L’intérieur est marqué par des images d’apsaras et trôné par une statue de Bouddha dans une position assise.
Vandalisée lors de la révolution shivaïte, cette statue est encore aujourd’hui défigurée. Sur le sommet de la structure, on y trouve donc 5 tours principalement édifiées en brique.
On peut y trouver des sculptures de créatures mystiques qui se positionnent comme les gardiens du temple. On y trouve également des statues de lions reliées par des balustrades.
Le temple de Prasat Kravan est un petit temple à 5 tours de brique du 10ème siècle dont le seul intérêt réside dans les bas-reliefs dédiés au dieu Vishnu qui se situent sur les parois intérieures.
Le temple Banteay Kdei qui signifie littéralement « la citadelle des chambres monastiques » est un complexe bouddhique, fréquenté jusqu’en 1960 par des moines bouddhistes.
Le temple Banteay Kdei est l’un des plus anciens temples d’Angkor. Construit avec du grès doux.
L’enceinte entre les murs comprend des galeries, d’une tour centrale et de plusieurs galeries dont certaines sont effondrées aujourd’hui.
Le Preah Kô est le plus ancien temple "Angkorien". Consacré en 879 par Indravarman I, il inaugure la tradition des édifices religieux que chaque roi se devra d'édifier en l'honneur de ces ancêtres divinisés avant même de songer à en construire un à son propre culte !
Le preah Kô est dédié à Jayavarman II, premier roi et fondateur du royaume d'Angkor.
Les constructions sont principalement en briques (seules les terrassements et certains linteaux ou encadrements de porte sont en pierre ; les tours, autrefois recouvertes d'enduit coloré, sont creuses.
Les monuments de Roluos, plus connus sous le nom de Groupe des Roluos ont été construits entre les années 877 et 889. Situés à 13 kms de Siem Reap, ce sont les premiers temples "en dur" construits par les Khmers qui représentent les débuts de l'art classique du Cambodge.
Les temples précédents étaient tous construits essentiellement en bois et différents matériaux légers, et résistaient peu aux années, d'où leur coté éphémère.
Bakong
Le Bakong , qui abrite toujours un monastère bouddhiste, est un temple qui symbolisait les temples "montagnes" qui représentent le Mont Meru, centre de l'univers
Lolei
Ce temple lors de sa construction en 893, était situé sur un îlot au centre d'un immense bassin-réservoir d'eau qui alimentait la région.
Bien qu'il fût construit il y a plus de 500 ans, Wat Preah Prom Rath est un temple et un monastère à l'allure moderne situé au cœur de Siem Reap.
La porte principale est peut-être l’élément qui semble le plus ancien, avec des sculptures de style Bayon, semblables à celles d’Angkor Wat. Les jardins du temple sont vastes et abritent un bâtiment universitaire ainsi que le hall principal. Cependant, l'attraction majeure est le Bouddha allongé et l'histoire qui explique comment la statue est arrivée là.
Selon la légende, un moine célèbre naviguait sur la rivière située à proximité lorsque des requins l'attaquèrent et cassèrent le bateau en deux. Le moine s’échappa sur la proue du bateau et parvint à rejoindre la terre ferme. L’épave fut sculptée et transformée en Bouddha allongé qui se trouve dans le bâtiment de Preah Vihear. A l’extérieur du bâtiment, se trouve une statue qui représente le moine et son bateau et constitue un endroit populaire pour les photos.
Siem Reap, suite de notre balade en tuk tuk avec arrêt devant un parc.
Le Royal Gardens est un grand jardin situé au bord de la rivière. La raison principale pour laquelle ce jardin est visité est qu’il y a des milliers de chauves-souris accrochées aux arbres derrière la pagode. C’est endroit vous offre un moment reposant à l’abri des rues agitées du centre-ville.
On peut déguster des fruits voire acheter des fleurs...
le lotus :
Dans le lotus, rien ne se perd. Chaque partie de la plante est consommable, ses feuilles sont utilisées pour le packaging alimentaire et ses fleurs rose pâle à fuchsia sont plébiscitées en décoration.
Un ingénieur a même découvert que la tige du lotus contenait une fibre qui permet de produire un fil encore plus fin qu’un cheveu et plus solide que la soie! Il a fondé ‘’l’Atelier du lotus’’ à Siem Reap et s’est lancé dans la production d’un éco-textile aux propriétés uniques.
Le lotus s’affiche jusque dans la statuaire des Temples d’Angkor où il a été représenté par les bâtisseurs hindouistes et bouddhistes comme autant de symboles de l’élévation spirituelle.
La distance de Battambang et Siem Reap n’est que 77 km, mais le voyage peut durer jusqu’à quatre heures car il n’y a pas de route directe
Les bus ou mini van restent le moyen de transport le plus indiqué pour se déplacer au Cambodge quand on est un touriste.
Nous prenons donc la route pour nous diriger vers Siem Reap. Et pour nous ce sera un mini van.
(photos pas très nettes prises en cours de circulation pour la plupart)
Nous traversons des zones essentiellement rurales.
Toujours ces maisons perchées sur de hauts pilotis, preuve que les pluies de mousson provoquent une montée spectaculaire des eaux .
Mais lors de notre séjour c’était la période du séchage du riz, au soleil, sur des nattes étalées sur toute la surface de la cour des fermettes, des jardins, sur les bas côtés de la route même.
Battambang est découverte par les Français en 1907 et fait alors partie de l’Indochine française.
Les Français y construisent un centre ville et remplacent les maisons en bois traditionnelles par des constructions en dur, que l’on peut toujours voir aujourd’hui.
A l'époque la maison se décomposait ainsi : boutique au rez-de-chaussée, entrepôt et habitation du marchand et de sa famille à l'étage.
Les habitants de ste Eulalie d'Olt se nomment les Encaulats (mot occitan en rapport avec le chou).
L’ensemble du village obéit à cette simplicité médiévale, que certaines restaurations n’ont pas altérée.
Cette sobriété harmonieuse est soulignée par quelques demeures plus riches, particulièrement par le château que la famille de Curières de Castelnau, fit bâtir au XVIe siècle .
Le "vieux pont de pierres" enjambant la rivière ,ce pont, protégé par des chinthes, a été construit en béton en 1930 par les Français et se trouve quasi en face de l'ancien palais du gouverneur .
Le chinthe est une créature semblable à un lion, demi-lion et demi-chien ou dragon) que l'on voit souvent à l'entrée des pagodes et des temples en Birmanie et dans d'autres pays d'Asie du Sud-Est.
Actuellement, ce pont est réservé aux deux roues et aux piétons. C'est l'un des 4 ponts enjambant la rivière à Battambang.
La partie principale de Battambang est située près de la Sangkae, une rivière coulant à travers la province de Battambang et dans la ville, du sud-ouest vers le nord-est, se jetant dans le Tonlé Sap.
Battambang est un mélange de trois périodes : celle de l'influence thaïlandaise, des colonies françaises, et de la vie moderne des années 1960.
Comme dans les autres centres urbains de l’Indochine française, les commerçants d’origine chinoise furent encouragés à venir animer le cœur des villes en ouvrant des échoppes et autres petites entreprises. Le Psar Nat, le marché principal, une architecture de style Art déco, de couleur jaune vif, fut inauguré en 1936.