Phnom Penh est une petite capitale à échelle humaine comparée à Bangkok.
Le soir, la ville s’anime et sur le quai Sisowath longeant le Tonlé Sap, les cambodgiens viennent se détendre.
Pour atteindre ce quai, il faut être prudent, traverser la route n'est pas une mince affaire, c'est l'anarchie dans la circulation routière, les feu rouges ne servent à rien !!
Perchée sur les hauteurs d'un méandre du Tarn, Sainte-Enimie est inscrit sur la liste des beaux villages de France.
D'allure médiévale, Sainte-Enimie est tout en vieilles ruelles pavées et en passages voûtés, parsemée de larges escaliers et de jolies terrasses qui participent généreusement à son charme.
La rue basse était autrefois la rue principale. La place au beurre comme son nom l'indique lieu où l'on vendait des produits laitiers.
La halle au blé a gardé la pierre creuse qui servait de mesure à grains : 5 litres.
Ce sanctuaire coloré a été établi comme une bibliothèque d’Écritures bouddhiques ainsi qu’un lieu de rencontre pour les moines cambodgiens et sri-lankais.
Contrairement à la plupart des temples bouddhistes au Cambodge, les stupas sont très bien conservées.
Tous les dimanches à 8 h 30, vous pouvez participer aux sessions de méditation qui sont supervisées par des moines anglophones.
Un autre édifice :
Ce très bel édifice colonial est en fait l'ancien évêché, occupé désormais par les services de la municipalité.
Aujourd'hui, beaucoup de gens viennent ici pour prier pour la chance et le succès dans les examens scolaires ou les affaires commerciales.
Quand un souhait est accordé, les fidèles reviennent pour livrer l'offrande promise, comme une guirlande de fleurs de jasmin ou un bouquet de bananes (dont les esprits sont censés être particulièrement friands).
Accroché aux falaises du causse, Castelbouc est un village troglodytique surplombé par un magnifique château en ruines. Le château a été démoli au XVIe siècle car il servait de repaire à des pillards, mais ses ruines dominent toujours le village.
On dit aussi que le château de Castelbouc était ainsi nommé car seules les chèvres pouvaient grimper jusqu’aux ruines.
La légende de Sainte Enimie (résumée)
De sang royal, Enimie,sœur du roi Dagobert, atteinte par la lèpre vint en Gévaudan, sur ordre de Dieu, pour être guérie. Après être allée aux bains renommés de Bagnols, en vain, elle est conduite à Burle et guérie.
Elle veut repartir, mais la lèpre la reprend. Guérie par un nouveau bain elle repart. Désespérée par une nouvelle atteinte du mal elle retourne à la source miraculeuse, est guérie, fonde un monastère, et meurt dans la prière et le recueillement.
Autour de son tombeau, s'éleva le bourg de Sainte-Enimie.
Construit vers la fin de 1930, le marché central fut l’œuvre de plusieurs architectes internationaux dont Jean Desbois, Louis Chauchon et Wladimir Kandaouroff.
Entièrement coloré en jaune, le marché central de Phnom Penh est un grand monument qui disposant d’un gigantesque dôme de 50 m de diamètre et de quatre ailes de 50m de long.
Ce marché héberge de nombreuses et d’impressionnantes échoppes, boutiques ou étalages.
Suivant les marchandises, les vendeurs sont répartis à l’intérieur du marché en quatre catégories.
À côté de la place, la cathédrale Saint-Maurice, dotée d'une vaste nef de 48 mètres de long et de 22 mètres de large, affiche un style gothique méridional.
L'église est bâtie en grès du pays.
Curiosité sous le ciel ariégeois, l' orgue est le plus grand instrument allemand de cette période construit pour la France.
L'instrument a été classé « Monument historique » en 1981.
La poste de Phnom Penh, toujours en activité, occupe depuis 1890 un imposant bâtiment construit par l'administration française. Durant le Protectorat (1863-1953), l'édifice marquait le coeur de l'ancien quartier colonial.
La gare de Phnom Penh fut construite au début des années 1930. Elle abrite toujours de vieilles locomotives à vapeur qui sont de véritables reliques.
Le Monument de l'Indépendance fut construit en 1958 pour symboliser l'indépendance du pays et rendre hommage à tous ceux qui se sont battus pour libérer leur pays de l'emprise de la colonie française. Le monument fut inauguré le 9 novembre 1962.
La ville est construite à la convergence de quatre larges voies d'eau :
le Mékong amont, le bras principal du Mékong en aval, le Tonlé Sap (un émissaire à flux alternés) et le Bassac, premier bras à se détacher du grand fleuve.
La ville doit ainsi à ce site son ancien nom de Krong Chaktomuk signifiant « la ville aux quatre visages ».
La place a conservé sa structure originelle et médiévale. Vous pourrez y observer ses couverts du XVème siècle et de superbes maisons à colombages sur galeries de bois. Mirepoix est célèbre pour la Maison des Consuls ornée de pièces de bois sculptées (têtes de personnages, tortues, oiseaux...).Cette maison fut le siège des magistrats municipaux.
La halle de style Baltard a été construite au XIXème siècle.
En face on peut voir une mesure à grains cylindrique du 18e sa capacité est un double décalitre.
L'actuel hôtel de ville se trouve dans une ancienne maison appartenant autrefois à l'ancien receveur des tailles.
Photos prises alors que le tuk tuk roulait...car dans la capitale du Cambodge l’usage de la moto-dop et du tuk-tuk sont des alternatives dans une ville ou la circulation est chaotique.
Une bonne façon aussi de se plonger dans l'ambiance de la ville.
Nous avions trouvé un chauffeur de tuk tuk sympa, d'ailleurs nous l'avions pris pour 2 jours.
Deux sanctuaires dédiés aux rois Norodom fils d’Ang Duong :
Ces deux stupas gris ornés de motifs religieux se situent symétriquement aux côtés de la statue équestre du roi Norodom qui orne les jardins royaux, statue offerte par l’empereur Napoléon III, en personne, en 1863.
Quelques pièces touristiques sont également à visiter . Dans une salle dédiée aux éléphants, la « White elephant place », plusieurs selles royales sont exposées sur des piédestaux en bois, certaines modernes mais d’autres très anciennes.
La belle bastide de Mirepoix est située dans le Pays des Pyrénées Cathare, labellisé Pays d’Art et d’Histoire. La ville fut reconstruite selon les plans réguliers des bastides après une vaste inondation en 1289.
Autrefois cernée par des remparts, la ville possédait 4 portes pour assurer sa protection.
Aujourd'hui il est possible de voir la dernière porte encore debout : la porte d'Aval.
Le Palais Royal de Phnom Penh est un complexe de 9 bâtiments .
Les bâtiments les plus remarquables sont la salle du trône, le Pavillon de Napoléon III, Pavillon Phochani, Pavilion Chanchhaya et bien sûr la Pagode d'argent.
Les jardins, surtout ceux qui entourent à la Pagode, sont remarquables.
Le Râmâyana est une épopée très ancienne, écrite aux alentours de 300 avant J-C en sanskrit et qui célèbre les aventures de Râma, une des incarnations de Vishnu lors d’un très long poème épique composé de sept livres.
Une fresque de Râmâyana est peinte sur le long des murs de la galerie entourant la pagode d'argent.
Nous entrons dans le palais royal, première plante exotique : le boulet à canon.
Le Boulet de canon est un arbre à feuillage persistant de la même famille que le noyer d'Amazonie.
Souvent planté en Asie , il est considéré comme sacré par les hindous puisque sa fleur ressemble à un Nâga, un serpent sacré sur le shiva lingam.
La salle du trône est le bâtiment le plus frappant avec une hauteur de 59 mètres. Ce bâtiment est encore en usage aujourd'hui, actes officiels, les réunions diplomatiques et les événements religieux (par exemple les mariages royaux).
Tout commence en 778, puisque la légende veut que ce soit Charlemagne qui, au retour de Roncevaux, fit construire un monastère et une église.
Labellisé "plus beaux villages de France" le village aux cents rosiers, s’habille aussi de couleurs et de senteurs dès le mois de mai...
C'est Philippe de Lévis-Mirepoix, évêque de Mirepoix et prieur de Camon, qui va reconstruire au début du xvie siècle l'ensemble des bâtiments que l'on voit aujourd'hui, dont le rempart du village. Entre 1560 et 1570, le cardinal Georges d'Armagnac, alors prieur de Camon, termine l'enceinte en y accolant une tour ronde.
Le Grand Palais est aujourd’hui utilisé pour les cérémonies officielles, le roi résidant au Palais Chitlada, au nord de la ville.
Seule une partie du monument se visite.
Le Palais Chakri Maha Prasat appelé également « Grand Palace Hall » construit en 1882 par des britanniques, sous le règne du roi Chulalongkorn fut érigé à la gloire de la monarchie.
Le style occidental renaissance de sa façade et de ses jardins à la Française tranchent avec le style typiquement thaï de sa toiture superposée ornée de serpents Naga. Il renferme une salle du trône et de grandes salles de réception auxquelles seuls les visiteurs de marque ont accès.
Célèbre pour son activité drapière, cette cité commerçante, largement tournée vers l’artisanat, accueillait au Moyen-âge le plus grand marché des Basses Corbières.
Les ruelles étroites débouchent sur une belle place aux maisons classées : la Maison Maynard, La Maison Lautier.
Le pavage remarquable des rues permet l'écoulement des eaux.
La Halle, datée de 1315, est un véritable joyau de l’architecture médiévale
A voir aussi Les vestiges des fortifications dont la Tour de plaisance ou Grand Tourreil, et la “Porte de l’Eau”, seule sortie de ville côté sud.
Les maisons, le long de l'Orbieu, tout en hauteur, et la hauteur des ponts laissent envisager jusqu'où peut monter le niveau de cette rivière, en périodes de crues.
Sur la terrasse à gauche de l'entrée principale, vous pourrez admirer le Phra Sri Ratana Chedi, un imposant chedi (dôme)doré à la feuille d'or construit sous Rama IV. Des reliques de Bouddha sont conservées à l'intérieur.
Le Prasad Phra Thepbidon, le panthéon royal. Sa forme de croix et sa tour dorée en forme de prangs (tour de style Khmer) lui donne son aspect caractéristique. Il abrite des statues de rois de la dynastie Chakri. Ce bâtiment ne se visite pas.
On peut voir aussi dans l'enceinte la maquette d’Angkor Wat, le temple cambodgien qui abritait la statue du bouddha alors que le Cambodge était sous le contrôle du Siam.
Enfin, l'Ubosoth, aussi appelé bot - la chapelle royale - abrite la célèbre statuette du Bouddha d’émeraude, qui tient une place importante dans le bouddhisme thaï.
Les entrées du temple sont protégées par des statues de géants du Ramakien, les yakshas, chargés de garder l'entrée du temple et d'en éloigner les esprits malfaisants. Parmi les personnages de la mythologie bouddhiste que vous pourrez rencontrer,
- les « kinnari », élégants personnages, mi-femmes, mi-oiseaux.
Ce sont des divinités secondaires, le plus souvent utilisées dans un seul but décoratif. Le plus connu des kinnari est Manohara.
- les « apsara », nymphes célestes d'une grande beauté, au torse nu, qui dansent pour le plaisir des dieux.
De nombreuses personnes y viennent se recueillir accomplissant les rituels bouddhistes mêlant l’eau, le feu, les fleurs de lotus.
Nous longeons l'Orbieu pour rejoindre le beau village de LA GRASSE.
Fondée par Charlemagne, la puissante abbaye bénédictine de Lagrasse vit se développer une cité florissante, sur la rive opposée de l’Orbieu. De la prospérité de l’abbaye était né le village.
De la route on peut admirer la vue d'ensemble du village. On peut distinguer aussi les 2 ponts dont le Pont Vieux (1303) remanié au XVII et XIXème siècle.
Installée au cœur du village, l'église Saint Michel est classée Monument historique. Elle constitue l'exemple type de l'église gothique à nef unique de la région. Elle renferme un riche mobilier et on peut citer en particulier les sept toiles représentant les sept sacrements attribuées à CRESPI (XVIIIème siècle) ainsi qu'un orgue construit en 1852 par PUGET.
Le Palais Royal a été construit en 1782 par le roi Rama Ier sur la rive gauche de la Chao Phraya à Bangkok.
Il abrite non seulement la résidence royale et la salle du trône, mais aussi un grand nombre de bureaux gouvernementaux et le temple du Bouddha d’Émeraude (Wat Phra Kaeo).
C’est cet ensemble d’édifices disséminés dans une enceinte de 218 hectares que l’on appelle le Grand Palais.
on peut admirer une série de 178 panneaux (fresques réalisées sous le règne de Rama III en 1830) décrivant des scènes de l’épopée du Ramakien.
Le Ramakien est la version écrite thaïlandaise du Ramayana indien, un long récit reprenant les personnages de la mythologie hindouiste. L’histoire retrace les aventures du prince Ram ou Rama (avatar du dieu Vishnu).
L'imposant Fort Saint André à Villeneuve-lez-Avignon, remarquable par sa conservation, est installé sur le Mont Andaon, un éperon rocheux qui s’élève 50m au-dessus de la plaine du Rhône.
Avec l'établissement du Saint Siège à Avignon et puis la fondation par le pape de la Chartreuse de Val-de-Bénédiction en 1356 le site devient une véritable forteresse militaire
La Boxe thaïlandaise (ou Muay Thaï) est le sport national auquel les Thaïlandais vouent un véritable culte. Les boxeurs les plus titrés sont des vedettes adulées.
Ce sport est réputé comme l'un des arts martiaux les plus violents, qui autorise tous les coups, ou presque. C'est l'une des rares disciplines qui permet l'utilisation des genoux et des coudes, deux armes redoutables.
Le Muay Thai est une véritable industrie en Thaïlande, il fait vivre environ 200 000 personnes, boxeurs, entraîneurs, commerçants.
De nombreux étrangers viennent faire des stages de boxe, comme Dan, un sud africain venu passer quelques mois en Thaïlande pour s'entrainer et combattre.
Le pont Sarasin se trouve environ 2kms après le check point de la police.
Tout au long de la journée mais principalement après 18h, les pêcheurs viennent installer leur équipement pour attraper des poissons et des seiches dans les courants sous le pont.
Du coté sud du pont (vers Phuket), il y a toujours de nombreux vendeurs de fruits frais, poulet grillé, boissons gazeuses, eau, bière et autres snacks locaux, comme les seiches au barbecue par exemple.
Le pont Sarasin a été le premier pont construit entre l'île de Phuket et la province de Phang Nga sur le continent.
Il porte le nom d'un politicien Chino-thailandais (la famille Sarasin faisait partie d'un riche clan impliqué dans le business et la politique Thaïlandaise depuis le 19eme siècle).
Ce pont de 700m de long a été construit en 1967 pour remplacer le ferry qui à cette époque était le seul moyen de se rendre sur l'île de Phuket.
Classé parmi " les Plus Beaux Villages de France " pour son site médiéval et son superbe patrimoine architectural, Lautrec se situe dans le Sud-Ouest de la France, au centre du département du TARN.
La place centrale et halles sont du 15e siècle
Vers 1338, une halle en pierre abritait un four banal, il ne reste que le puits central.
Le sol de cette place a été refait à l'ancienne en 2002 (pavés).
En 1830, dix-neuf moulins à vent et à eau produisaient de la farine sur la commune de Lautrec, dont neuf à vent.
Remis en état de marche sous l'impulsion de l’office de tourisme, le moulin de Lautrec est encore capable de faire de la farine.
Durant la fête qui s'apparente à une fête foraine et à un festival de chants, les plus petits commencent à occuper la scène et sont récompensés de colliers. Colliers qui seront échangés contre de l'argent et ces mêmes colliers souvent offerts par la famille, les proches..Donc plus on reçoit de colliers, plus la somme sera élevée.
Le Bouddhisme Theravada repose sur des fondamentaux que les moines Thaïlandais pratiquent tous les jours dans les temples. Cette religion permet d'atteindre le salut en se rapprochant au maximum des paroles de Bouddha et de son mode de vie.
La méditation fait partie des activités de bases des moines chaque jour et prend beaucoup de leur temps.
Wat Cherngtalay (Choeng Thale) est un temple bouddhiste Theravada situé à Cherngtalay près de Laguna Beach, nous sommes allés voir un spectacle de nuit qui devait clôturer une fête.
Le Gibbon Réhabilitation Project mène une politique de réintroduction des gibbons, et a pour objectif de faire cesser l’exploitation de cette espèce en danger.
Les gibbons sont dans des enclos et vous n’avez accès qu’à une petite partie pour la bonne et simple raison qu’il faut que les singes se détachent des humains.
On peut parrainer un gibbon du centre.
Un autre catégorie de singes, les macaques, ceux là sauvages, libres ont investi une colline qui surplombe la ville de Phuket town.
Les grottes aujourd’hui dédiées au culte de Murugan (Dieu de la guerre et le plus jeune fils de Shiva, un des Dieu Hindou de la trinité) ne l’ont pas toujours été et ne le sont que depuis la fin du XIXe.
D’abord exploitées par des paysans chinois qui y extrayaient du guano, les grottes furent popularisées après qu’elles furent recensées par un naturaliste américain en 1878.
Et c’est un commerçant indien qui, inspiré par la forme de l’entrée de la grotte principale, voulut dédier un temple ici à Muragan.
L’escalier a beau être raide, il n’est pas fatigant tant on s’arrête pour observer les macaques qui s’emparent de toute banane/bouteille d’eau/ poche plastique, offrandes qui passent sous leurs yeux.
Des travaux de constructions étant en cours, les touristes ou fidèles bénévoles montent un ou deux seaux remplis de sable ou ciment pour les ouvriers qui oeuvrent au sommet.
Les principaux festivals hindous sont célébrés chaque année dans la grotte Batu, y compris « Diwali » ou Deepavali, qui célèbre la victoire de la lumière sur l'obscurité ; et également depuis 1892, le festival of Thaipusam, l'une des plus grandes fêtes de la communauté hindouiste du monde entier.
Les grottes, situées au nord de Kuala Lumpur, sont le site d’un temple et sanctuaire hindou emblématique. Le site est connu pour son énorme statue du dieu hindou Murugan (ou Kârttikeya, le dieu de la guerre), ses 272 marches qui conduisent à une vue magnifique sur la ville et les alentours, et les nombreux singes qui ont fait des grottes de Batu leur demeure.
Affleurement calcaire situé juste au nord de Kuala Lumpur, les grottes de Batu se composent de trois grottes principales accueillant des temples et des sanctuaires hindous.
La tour de télécommunication haute de ses 421 m a été construite en 1995 par l’architecte Kumpulan Senireka Sdn Bhd. !
Un restaurant panoramique tournant est situé au dernier étage de la tour.
Pour moins cher, on peut également juste aller à l’avant-dernier étage de la tour Menara pour profiter d’une vue à 360° sur Kuala Lumpur
Son architecture reflète la culture islamique du pays, avec ses inscriptions arabes relatives à sa construction, ses mosaïques islamiques, ses motifs floraux et abstraits traditionnels .
Deux ascenseurs permettent l’accès à la tour en une minute environ et ont une capacité de 800 personnes par heure. Les visiteurs y trouvent une plate-forme d’observation au premier niveau et un restaurant tournant au deuxième niveau. La tour tout entière est revêtue de verre (double vitrage à remplissage au gaz) .
Le Parc KLCC est un parc urbain à Kuala Lumpur City Centre .
Le parc a été conçu pour fournir de la verdure aux tours jumelles Petronas et aux zones environnantes.
Lake Symphony est un lac artificiel de 10 000 mètres carrés avec des fontaines d'eau. Le jet de la fontaine principale peut atteindre une hauteur de 108 mètres. La nuit, il y a des lumières, des musiques ..
On peut y trouver une piste de jogging, des cascades, des aires de jeux pour enfants, une piscine.
Contrairement aux autres buildings de la capitale malaise construits dans le style international, le projet des tours Petronas a cherché à témoigner d'une véritable identité nationale et religieuse.
Les tours Pétronas étant de superficie relativement restreinte à chaque étage, les systèmes d'ascenseurs ne devaient pas occuper trop de place. La hauteur étant par contre disponible, la société Otis a développé des ascenseurs doubles, pour aller aux étages pairs il faut prendre l'ascenseur depuis le rez-de-chaussée, pour aller aux étages impairs il faut le prendre au 1er étage (auquel on accède par un escalator).
Le pont (Skybridge) qui relie les deux tours est devenu obligatoire pour permettre l'évacuation des résidents d'une tour vers l'autre, en cas d'incendie.
La durée pour hisser ce pont devait être de 20 heures mais des tempêtes tropicales et orages ont détruit le système électrique de levage plusieurs fois en trois jours, le pont est donc resté suspendu à mi-hauteur plusieurs heures pendant la tempête.
Le Skybridge est composé d'un système complexe de rotules car le vent ne fait pas bouger les deux tours de manière identique.
Les tours jumelles Petronas de Kuala Lumpur en Malaisie ont été conçues par l’architecte argentin Cesar Pelli et inaugurées en 1998. Elles comportent 88 étages pour une hauteur totale de 452 mètres.
Une passerelle d’acier accessible aux visiteurs relie les deux tours à 170 mètres du sol au niveau des 41e et 42e étages.
En plus des bureaux du géant pétrolier malais Petronas, cet édifice contient 1,7 million de mètres carrés de boutiques et lieux de divertissement, une salle de concert, une mosquée, ou encore un centre de conférence multimédia.
Le quartier chinois s’étale autour de la rue piétonne de Petaling.
Ici se trouve le fameux marché aux puces où il y a toute une sélection de produits contrefaits, les répliques de grandes marques et certaines marchandises locales à des prix dérisoires.
Dans l'enclave colorée de la Petite Inde, les boutiques de saris, de tissus sont très populaires.
Le Nouvel An chinois C'est le début de la Fête du printemps, période de 15 jours qui s’achève avec la fête des lanternes.
Le calendrier chinois étant un calendrier luni-solaire, la date de cette fête dans le calendrier grégorien varie d'une année sur l'autre, mais tombe toujours entre le 21 janvier et le 20 février.
Le grand nettoyage de la maison est fait. Le dernier jour, on affiche un peu partout des souhaits écrits sur papier rouge, symbole de chance.