C’est par les rues Jambe Longue et Jambe Courte (Pikk Jag et Lühike Jag) que l’on rejoint la ville basse. Lühike Jalg – littéralement la courte jambe – est une paisible et agréable petite ruelle pavée, à l’ambiance plutôt romantique. Au Moyen Âge, elle n’était pas encore pourvue d’escaliers.
La Courte Jambe relie l’église Saint-Nicolas – Niguliste – à la colline de Toompea…
Le mur de la Haine
Une muraille intérieure, constuite par la municipalité de Tallinn en 1454 séparait la vilkle Haute de la ville Basse. On l'appelait" le mur de la haine". A 5h du soir les portes étaient fermées séparant la citadelle des féodaux à la ville des bourgeois, marchands et artisans. Cette muraille s'étire le long de la rue Longue Jambe.
La tour appelée Kiek in de Kök fut construite en 1475. Le nom de cette massive tour d’artillerie haute de 38 mètres signifie littéralement « un coup d’œil dans la cuisine ». Elle était si haute que les gardes de l’époque disaient, pour plaisanter, qu’ils pouvaient voir à travers les cheminées jusque dans les cuisines des maisons qui se trouvaient en contrebas.
La Tour de la Vierge fut construite durant la seconde moitié du XIVème siècle. À cette époque, elle portait le nom de Tour Megede, ce qui, en bas allemand, peut se traduire par «jeune fille», ou «pucelle»…
La tour de la Vierge, l'une des plus célèbres tours de défense médiévales de Tallinn, a récemment été rénovée et ouvre ses portes sur un musée et une salle d’exposition.
est classé parmi les « Plus Beaux Villages de France » depuis 1983 grâce à ses belles maisons médiévales aux pierres ocre et tuiles brunes, ses ruelles aux balcons, escaliers et courettes agréablement fleuris, son église et son château.
Un autre beau village : TURENNE (Corrèze)
Turenne a gardé de nombreuses traces de son histoire : les tours César et du Trésor, vestiges du château dominant le village, d’anciens hôtels particuliers des XVe au XVIIe S ornés de tourelles ou d‘échauguettes et des demeures plus simples aux toits couverts de lauzes ou d’ardoises...
En poursuivant par la rue Kohtu, on débouche sur un belvédère dégagé, où la vue accroche tout de suite le regard.
Du haut de cette plate-forme panoramique, on aperçoit la ville basse.
Avec ses remparts médiévaux, ses toits aux tuiles d’un rouge flamboyant, ses clochers effilés et son architecture moyenâgeuse, on se croirait à l’époque des chevaliers teutoniques…
Kesklinn, le quartier des affaires, apparaît en arrière-plan avec ses quelques gratte-ciels à l’américaine...
Fondée par les Danois au XIIIe siècle, elle est la plus ancienne église de Tallinn ainsi que de l'Estonie continentale.
Elle est le seul édifice de Toompea qui ait survécu à l'incendie du XVIIe siècle.
À l'origine, elle était une cathédrale catholique romaine, elle devint luthérienne en 1561 et appartient maintenant à l'Église évangélique luthérienne estonienne.
Elle est le siège de l'archevêque de Tallinn, le chef spirituel de l'Église évangélique luthérienne estonienne.
Des peintres espagnols aux carrières de lumière, aux Baux de Provence
La seconde partie se concentre sur Picasso et sur sa richesse créative. Parmi ses toiles les plus célèbres, on retrouve les Demoiselles d’Avignon (1907), La Flûte de Pan (1923), mais aussi Guernica (1937) et La Joie de Vivre (1946).
Le château de Toompea lui-même est tout à fait emblématique de l’architecture Renaissance, telle qu’elle a pu se développer en Estonie. Construit entre le XIIIème et le XIVème siècle, à l’époque de la domination suédoise, il portait le nom de Palais d’État, et sa structure rappelle précisément celle du palais royal de Suède…De nos jours il abrite le parlement.
LA CATHÉDRALE ALEXANDER NEVSKI
Située en face du château de Toompea, la cathédrale orthodoxe Alexander Nevski fut construite en 1900, à l’époque où l’Estonie faisait partie de la Russie tsariste.
Inaugurée par Nicolas II en personne, elle porte le nom du célèbre commandeur qui dirigea les troupes russes lors de la mémorable Bataille de glace, qui fut livrée en 1243 sur les rives du Lac Peipsi, au sud-est de l’Estonie…
La place de la liberté (Vabaduse väljak) sur laquelle se dresse une grande croix, constitue un monument honorant les Estoniens tombés durant la guerre d'Indépendance (1918-1920).
Les Estoniens se réunissent régulièrement sur la place pour célébrer leur liberté, obtenue après des années d’occupation.
L’église néo-gothique d’un jaune éclatant qui domine la place de la Liberté (Vabaduse väljak) est un survivant parmi les églises de la ville. Malgré deux tentatives pour l’abattre au cours du siècle dernier, elle a tenu bon et semble vouloir tenir encore longtemps.
Conçue comme une déambulation à travers l’art ibérique du XXe siècle, l’exposition numérique et immersive Picasso et les maîtres espagnols met en mouvement des milliers d’oeuvres numérisées, qui s’animent aux moyens de l’équipement technique de pointe AMIEX®.
De la cour royale aux scènes champêtres de Goya, à travers les jardins enchanteurs de Rusiñol, les portraits de Zuloaga et les scènes en bord de mer du lumineux Sorolla, vous êtes invités à prendre le large avant de plonger dans l’univers pictural foisonnant de Picasso et son oeuvre magistrale.
À partir de 1372, la rue Rüütli – littéralement rue des Chevaliers – devint un des lieux les plus importants pour les activités commerciales à Tallinn. C’est là que se trouvait en effet la cour marchande, qui portait également le nom d’écurie – «Marstall» en estonien –, en référence aux écuries municipales installées à proximité…
C'est là que le bourreau avait sa maison au n°18
Le bourreau, rarement un autochtone, était employé par la municipalité.
En effet, à l’époque médiévale, le métier de bourreau était passablement méprisé. Ce dernier devait d’ailleurs porter un manteau rouge écarlate, non pas pour faire l’apanage de ses richesses, ni montrer un quelconque tempérament sanguinaire, mais pour la simple et bonne raison qu’on pouvait ainsi le repérer dans la foule, et l’éviter très facilement…
Nous prenons les rues pentues de la colline de Toompea, à mi-chemin entre les remparts et la ville basse
Fondée par des marchands allemands venus de l’île de Gotland vers 1230,
l'église st Nicolas,
construction solide qui fut conçue pour servir de forteresse, à une époque où les remparts de la ville n’existaient pas encore.
L’édifice survécut aux destructions occasionnées par la Réforme en 1523, mais il fut moins heureux au XXe siècle, lorsque les bombes de la deuxième guerre mondiale le détruisirent.
Depuis sa restauration dans les années 1980, l’église Saint-Nicolas est devenue un musée consacré à l’art religieux.
Trois évènements de l’histoire ont marqué la vie du village :
§La Première Croisade en 1096
§La Guerre de Cent Ans qui ravagea toute la contrée
§La Guerre des Biens Publics sous Louis XI.
Aujourd'hui il fait partie des beaux villages de France.
Ne pas manquer :
La Halle construite à la fin du XVIIIe début XIXe avec sa belle charpente en chêne d’origine, servait de marché aux grains. Elle a été entièrement restaurée à la fin des années 1970.
Dans le village, on peut voir d’élégantes maisons nobles aux façades ouvragées, des points de vue imprenables sur la vallée.
La Raeapteek est actuellement la plus ancienne pharmacie d'Europe en activité. La date d'ouverture précise de la pharmacie n'est pas connue; certains historiens la font remonter à 1415. On sait cependant que c'est déjà un troisième propriétaire qui la tient en 1422.
Le bâtiment est aujourd'hui situé au 11 Place de l'Hôtel-de-Ville et accueille, en plus d'une pharmacie, un musée et un restaurant au deuxième étage.
La pharmacie vendait aussi du papier, de l'encre, de la cire à cacheter, des teintures, des poudres, des granulés, des épices, des bougies et des torches. Lorsque le tabac a commencé à être importé en Europe et en Estonie, la pharmacie a été le premier à en vendre.
La pharmacie vend aujourd'hui, comme toute autre pharmacie, les médicaments les plus récents.
C'est le seul hôtel de ville médiéval qui ait subsisté de l'ex-URSS.
Il fut construit au 14e siècle et a acquis son aspect actuel dans les années 1402-1404.
Depuis le 16e siècle, la girouette en forme de soldat "Vana Thoomas" est le symbole de la ville.
Sur la « Raekoja plats », se trouvent, hormis l'hôtel de ville, la « Raeapteek », une pharmacie datant de 1422 (sa façade actuelle a été refaite au XVIIe siècle), et, au 4-6 de la place, l'ancienne prison de la ville transformée en galerie d'art.
À proximité de la place de l’Hôtel de Ville se dresse une église blanche resplendissante, surmontée d’une tour octogonale. C’est l’église du Saint-Esprit, édifiée au XIVe siècle.
L’horloge peinte qui orne sa façade est la plus ancienne horloge publique de Tallinn : elle date de la fin du XVIIe siècle.
L'intérieur est richement décoré avec, en particulier, un exemple unique d'une sculpture en bois de l'époque gothique. L'autel, qui a été commandé à l'artiste Bernt Notke en 1483, est l'une des oeuvres d'art médiévales les plus précieuses en Estonie.
La rue la plus ancienne de la ville basse est la rue Pikk dans laquelle on trouve plusieurs édifices de grande valeur architecturale.
Certains ont des façades richement décorées, on y trouve aussi le musée historique de l'Estonie, autrefois bâtisse dans le style gothique occupée par la grande Guilde.
Construite au XVIe siècle, elle y abrite jusqu’en 1897 un marché aux vins et huiles de noix.
Située à l’emplacement du premier cimetière, ses piliers, cylindriques vers la « Porte Plate » et cubiques face à l’église supportent une belle charpente en châtaignier.
L'église Saint Pierre avec ses mystères (ICI de nombreux renseignements sur cet édifice http://www.collonges-la-rouge.fr/les-mysteres-de-l-eglise-saint-pierre.ph
Nous avons visité ce village, tôt le matin, avant l'arrivée des cars de touristes ... donc petit moment de répit pour les photos !
Les origines de Tallinn remontent au XIIIe siècle, lorsqu'un château fut édifié par les croisés de l'ordre Teutonique.
La cité s'est développée pour devenir un poste clé de la Ligue hanséatique et sa prospérité s'est traduite par l'opulence des édifices publics (en particulier ses églises) et l'architecture domestique des maisons de marchands, remarquablement bien préservées malgré les ravages des incendies et des guerres au cours des siècles.
La Vieille Ville de Tallinn se divise en deux parties, la ville basse et la ville haute (aussi appelée Toompea). Ces deux villes étaient jadis séparées par des portes fortifiées, comme s’il s’agissait de deux cités distinctes.
L'Estonie est un pays de terres basses marécageuses, 48 % du pays est constitué de bois et de forêts, la taïga, et 13 % de marais à tourbe.
Les Estoniens, comme les autres populations nordiques, sont très proches de la nature et soucieux de la préservation de l'environnement.
Un pays connecté
Skype a été fondé en 2003 en Estonie par Niklas Zennström et Janus Friis et développé par les programmeurs Ahti Heinla, Priit Kasesalu et Jaan Tallinn.
Les habitants de cet Etat balte peuvent réaliser la totalité de leurs démarches administratives en ligne.
Collonges-la-Rouge doit son nom à son grès rouge qui le rend si atypique. Le mystère de cette couleur réside dans sa teneur en oxyde de fer.
Ce village labellisé « Plus Beaux Villages de France », doit son label à son ancien maire Charles Ceyrac (1965-1996) qui a créé l’association en 1982, pour valoriser les petits villages ruraux et sauvegarder le patrimoine.
La chapelle des Pénitents : Dédiée à Saint Maximin, elle daterait du XIVe siècle et aurait appartenu au prieuré de Collonges. Elle était affectée à la sépulture de certaines familles locales.
L' église Saint-Jean (Jaani kirik), une église luthérienne gothique vieille de près de 700 ans et célèbre pour ses centaines de figurines en terre cuite uniques et disposées dans des niches tout autour du bâtiment.
Certains pensent que leur nombre, de même que leurs caractéristiques uniques, est le signe qu’elles ont été façonnées sur le modèle de différents habitants des environs.
Toujours les blocs béton insolites...pour les rues piétonnes.
Une sculpture insolite aussi : le père et le fils
l'artiste a choisi de se représenter à coté de son fils (encore bébé) en lui donnant exactement la même taille.
L'hôtel de ville de Tartu est situé au le cœur de la ville. Il a été construit entre 1782 et 1789. C'est une structure aux teintes roses, surmontée d'une tour avec une girouette.
Depuis 1988 les expositions du Musée d’Art de Tartu sont organisées dans ce que l’on appelle la Maison Tombante.
Construit en 1793, le bâtiment appartenait autrefois à la noble famille Barclay de Tolly. Au fil du temps le bâtiment commença à s'incliner d’un côté en raison de la différence des matériaux utilisés pour créer les fondations, d'où son nom. Cependant, après la restauration, menée par des experts polonais, le bâtiment a cessé de «tomber».
L’Université de Tartu, fondée en 1632, est l’une des plus anciennes universités d’Europe du Nord.
En plein cœur du centre historique, on peut découvrir la collégiale Saint-Martin, classée Monument Historique, et son clocher de style néo-roman.
En flânant le long des rues commerçantes de la vieille ville, quelques demeures remarquables, comme l'hôtel de Quinhart, place Latreille, un élégant bâtiment du XVe siècle doté d'une tour octogonale et d'une tourelle en poivrière ; la tour des Échevins, vestige d'une habitation Renaissance, décorée de fines sculptures ..
Hélas nous n'avons pu en voir plus, nous étions juste de passage !
Tartu est la seconde ville d’Estonie mais c'est la première ville universitaire d'Estonie, avec des étudiants représentant près d'1/7e de la population.
En Allemand, en Suédois et en Polonais la ville a été connue, et l'est encore quelquefois, sous l'appellation de Dorpat.
Nous commençons à sillonner la ville en fin d'après midi..
le marché puis nous longeons la rivière Emajogi..des croisières y sont organisées durant la saison estivale.
Petit arrêt photo devant la statue en bronze, un cochon avec au dos les parties utiles en boucherie (la statue est devant le marché de la viande).
Lorsque le tracé de la frontière entre la Lettonie et l'Estonie est formé en 1920, la ville de Valka se divise désormais en deux.
Elle est rebaptisée officiellement Valga du côté estonien et Valka du côté letton, formant deux villes séparées.
La situation singulière de Valka-Valga en a fait un espace symbolique pour le processus d’intégration européenne. C’est sur ce site que ce sont déroulées les cérémonies à l’occasion de l’entrée de la Lettonie et de l’Estonie dans l’espace Schengen, le 21 décembre 2007.
A deux pas de la grotte de Lascaux en Dordogne et 20km de Sarlat, le village de St-Amand de Coly, magnifiquement restauré et classé "Plus Beau Village de France" comporte plusieurs maisons et pigeonniers typiques du Périgord Noir mais surtout une majestueuse abbatiale du XIIe siècle considérée comme la plus belle église fortifiée du Périgord.
La commune doit son nom à saint Amand, un ermite venu évangéliser la région au VIe siècle.
Elle était occupée dès l'époque gallo-romaine comme en témoignent quelques vestiges retrouvés sur place.
La tour principale s'appelle un bergfried; l'une des plus anciennes parties structurelles du château qui a été construit au tout début.
Il était utilisé pour le repérage de la zone générale et en dernier recours en cas de siège.
La tour a cinq étages et la plate-forme d'observation est à environ 30 mètres au-dessus du sol.
Le bâtiment sur le côté ouest du mur ouest défensif a été construit au 15ème siècle. C'est ce qu'on appelle la nouvelle salle. Après le 16 e , il a également été utilisé pour le stockage de grains.
Le cadre du bâtiment est resté presque intact. C'est un bâtiment de trois étages avec un sous-sol, où on peut trouver des expositions sur l'histoire du château de Turaida, l'histoire des terres adjacentes et un compte rendu des événements qui ont eu lieu ici alors que le château faisait partie de l'archidiocèse de Riga.
A quelques kilomètres de Figeac, aux portes du Ségala, Cardaillac porte le nom d’une des plus puissantes familles du Quercy.
De l’époque médiévale subsiste ce qui fait la particularité du village : le fort avec ses deux tours carrées et sa tour ronde qui offre une vue panoramique du village.
La construction du château de Turaida a commencé en 1214.
Jusqu'à la fin du 16ème siècle, il a servi de résidence à l'archevêque de Riga qui a gouverné des terres.
Au cours des siècles, le château a été reconstruit et amélioré jusqu'à ce qu'un incendie l'endommage en 1776, après quoi il n'était plus habité et peu à peu transformé en ruines.
Le château a connu son renouveau dans la seconde moitié du 20ème siècle.
Du haut du donjon de celui-ci (42m), on a une très belle vue des environs.
La vaste zone de la réserve du musée de Turaida est riche en monuments archéologiques, architecturaux, historiques et artistiques, qui racontent de nombreux événements historiques sur des milliers d'années, à partir du 11ème siècle.
Les Lives, les autochtones de cette région, se référaient à cet endroit comme le jardin de Dieu!
L'église de Turaida est l'une des plus anciennes églises en bois de Lettonie, construite en 1750.
Au pied du tilleul centenaire près de l'église se trouve un lieu commémoratif dédié à Maija - la Rose de Turaida, qui a vécu à Sigulda au début du 17ème siècle. Son histoire de vie et sa mort tragique sont devenues une légende romantique
Selon la légende elle préféra la mort au déshonneur.
Après avoir vu les 4 saisons d'Arcimboldo sur les murs des Carrières de Lumières, on a pu découvrir ces quatre mêmes portraits en mode grandeur nature.
Déposés à l'entrée du Château des Baux-de-Provence,
quatre installations monumentales de l’artiste contemporain Philip Haas ont investi le Château des Baux-de-Provence le temps d'une exposition.
Mesurant 5 mètres de haut et pesant chacune 400 kilos, ces sculptures de têtes géantes sont inspirées des QUATRE SAISONS de Giuseppe Arcimboldo (1527-1583).
La grotte de Gutmanis est une des plus grandes des Pays baltes. Elle s’élève à 34 mètres au-dessus de la rivière Gauja et mesure 10 mètres de haut sur une largeur de 12 mètres avec une profondeur de 19 mètres.
Elle fut creusée par une source d’eau qui s’écoule à l’intérieur. La grotte se caractérise par un aspect jaune-rougeâtre, couleur du grès du massif montagneux qui s’élève à 85 mètres d’altitude. Elle domine une autre grotte, située en contrebas et dénommée grotte de Viktor.
L’entrée de la grotte est recouverte d’inscriptions rupestres et d’armoiries dont certaines remontent au XVIIe siècle.
La grotte est célèbre pour sa source intérieure dont l’eau est réputée curative, selon la tradition lettonne, à soigner, à prévenir le vieillissement et les rides de la peau, à protéger les amoureux et à préserver la fidélité des couples.
Le château neuf de Sigulda ne se visite pas, mais il est très joli à admirer depuis l’extérieur. Construit sur ordre du prince russe Dimitri Kropotkine, il accueille aujourd’hui le conseil régional de Sigulda.
Situé face au château neuf, se tient le château médiéval, partiellement restauré.
Ce bâtiment historique a été construit en 1207 par les chevaliers Porte Glaive. Au fond de ses jardins, on a une très belle vue sur la forêt du parc de la Gauja mais aussi une bellevue sur le manoir de Krimulda et le magnifique château de Tureida.
Les Carrières de Lumières bénéficient d'un nouvel équipement et de procédés à la pointe de la technologie : la plus grosse installation multimédia fixe en France avec 70 vidéoprojecteurs et 70 serveurs pour projeter des images sur plus de 6000m2 de surface.
Le spectateur se retrouve totalement immergé dans l'image projetée sur toutes les surfaces de la pierre. Le nombre de vidéoprojecteurs a été doublé afin de couvrir deux fois plus de murs.
Quant au sol, il est intégralement recouvert et devient un immense tapis d'images.
Nous quittons la ville de Vilnius, mais avant visite d'une dernière église orthodoxe .
Le Crâne
Dans l'iconographie, sous la croix du Christ, dans une petite caverne, apparait souvent un crâne. Il représente celui d'Adam, qui fut transféré de Mésopotamie au Golgotha, le lieu étant appelé par la suite " lieu du Crâne ". Lorsque le Christ fut crucifié sur ce mont, le sang qui fut versé sur la terre lava de ce fait le péché originel des premiers parents.
Sitôt entrés, les fidèles se dirigent spontanément vers les icônes, d’abord celle du Christ, ensuite celle de la mère de Dieu, puis celles des saints.
Ces spectacles sont projetés sur les immenses parois de 14 mètres de haut, les piliers et les sols de la carrière.
Ils vous transportent en musique dans des mondes colorés.
Des triptyques de Bosch les plus emblématiques aux compositions d'Arcimboldo faites de fleurs et de fruits, en passant par les fêtes villageoises de la dynastie Brueghel, les Carrières de lumières nous offrent le spectacle mystérieux peuplé de créatures fantastiques.
Au coeur des Alpilles, les monumentales Carrières de Lumières accueillent des spectacles multimédia uniques au monde. Chaque année un grand spectacle inédit est proposé présentant les plus grands noms de l'histoire de l'Art.
Ces carrières sont dans le village des Baux de Provence
Forteresse de 4 hectares comprenant quatorze tours à l’origine, le château de Trakaï était l’un des plus importants du pays.
En 1430, il fut transformé en prison.
Détruit en 1655 durant la guerre avec la Russie, il fut reconstruit au XXe siècle.
De l’ancienne forteresse, bâtie et développée par des communautés karaïte, tartare, lituanienne, russe et polonaise, seules subsistent aujourd’hui quelques tours et une partie du mur d’enceinte.
Un fossé profond sépare le château proprement dit du châtelet. Un pont-levis devant la tour de 34m mène à la cour intérieure entourée de puissantes murailles.
La communauté karaïte, le plus petit groupe ethnique de Lituanie, vit à Trakai.
Son origine vient de 400 familles ramenées par Le Grand Duc Vytautas pour le servir après sa victoire de la mer Noire.
Originaires d’une secte juive et nomade de Turquie, les descendants de ce peuple ont su préserver leur langue, leurs coutumes, leur lieu de culte et leurs maisons de bois.
Nous quittons la capitale VILNIUS pour TRAKAI (voir carte)
A l’ouest de Vilnius se trouve la vieille ville de Trakai, très visitée par les Lituaniens et les étrangers.
Les berges de la presqu’île, sur laquelle la ville s’est étendue, sont baignées par les lacs Galve, Totoriškes et Bernardinai (Luka).
Cette ville, connue pour sa nature magnifique et le légendaire château de Trakai, était autrefois un des berceaux de l’État lituanien, un centre militaire et politique important, le siège des grands-ducs de Lituanie et la capitale de la Lituanie.
L'église Saint Casimir à Vilnius est un parfait exemple du style baroque dans les états du nord de l'Europe.
Construite en 1604 et consacré à saint Casimir patron de la Lituanie cette église lourdement décorée est l'un des symboles de la capitale Vilnius.
Après la vieille ville petit tour de l'autre côté de la Néris (fleuve) on y trouve la ville moderne et aussi un quartier pittoresque de maisons en bois.
LA PORTE DE L’AURORE dans la vieille ville de Vilnius
Sur les dix portes autrefois aménagées dans les remparts, la Porte de l’Aurore est la seule qui ait survécu.
L’icône miraculeuse de la Sainte Vierge, Mère de Miséricorde, qui se trouve dans la chapelle de la Porte de l’Aurore, est l’un des plus célèbres ouvrages de peinture Renaissance en Lituanie.
Elle est aussi appelée Madone de la Porte de l’Aurore ou Madone de Vilnius.
L’icône fut peinte spécialement pour cette chapelle au XVIIe siècle, suivant l’exemple du peintre néerlandais Martin de Voss. L’icône fut célébrée et considérée comme miraculeuse par les catholiques, les orthodoxes et les uniates (c’est-à-dire les catholiques de rite grec). Cette icône est célèbre dans le monde entier, ses copies sont installées dans des églises de plusieurs pays.
L'église Sainte-Thérèse est une église paroissiale catholique de style baroque, située au sud de la vieille ville de Vilnius, à proximité de la Porte de l'Aurore et du monastère orthodoxe du Saint-Esprit.
Les messes sont en latin les jours de semaine à 7h30, et en lituanien les jours de semaine à 9h et 18h30, ainsi que les dimanches et jours de fête à 9h30, 11h et 18h30. Elles sont aussi en polonais les jours de semaine à 10h et 17h et les dimanches et jours de fête à 9h, 13h et 17h30.