Lorsque nous voyageons nous essayons de manger local. Sur l'île Maurice on peut avoir facilement du thon soit en l'achetant au marché aux poissons soit en attendant le retour du pêcheur.
Après il faut avoir un bon ami (pour nous c'est le cas) qui vous cuisine le thon de différentes manières: tartare, poêlé, mi-cuit, carpaccio, à l'ail ...accompagné de vichissoise ou patate douce , aubergines...
Merci Michel pour ces magnifiques plats et présentations.
Bon appétit !!!
Comme chaque année, les membres de diverses sociétés se sont mobilisés afin de garantir que tous ceux qui rendront à Grand-Bassin auront de quoi boire et manger.
Aussi des équipes de bénévoles se relaient matin et soir afin de servir du thé, du jus, de l’eau, et les trois principaux repas de la journée (petit-déjeuner, déjeuner et dîner).
Au menu, les mets traditionnels : puris, achard de légumes, curry de pommes de terre, divers grains secs (gros pois, dhol, lentilles, haricots blancs), ainsi que fricassée de giraumon et banane râpée. Chaque société a contribué selon ses moyens et plusieurs autres organisations ont été approchées pour des dons.
Il y a une équipe pour la cuisson, une autre pour la préparation, le service et la vaisselle. Selon le responsable de l’organisation mise en place, c’est la foi qui anime chaque bénévole.
“Quand on donne et partage avec le cœur, on reçoit une bénédiction.”
La Basilique Saint-Michel fut érigée entre le XIVe et le XVIe siècle. Il s'agit de la plus grande des églises paroissiales de Bordeaux. A ce titre, elle est inscrite au Patrimoine mondial de l'Unesco.
Le clocher de la fin du XVe siècle est isolé de la Basilique. Il est appelé « La flèche » par les Bordelais et il s'élève à 114 mètres de hauteur. Cela fait de lui le plus haut clocher du midi.
La porte Cailhau, haute de 35 mètres, faisait partie des fortifications de la ville. Elle est située au fond de la place du palais et faisait autrefois face à un palais. Elle sert aussi d'arc de triomphe puisqu'on y a placé une petite niche avec une statuette du roi Charles VII, construite pour honorer sa victoire sur les Italiens à Fornoue.
En arrivant au Ganga Talao, les pèlerins prient et versent de l’eau sur le shiva lingam, pierre sacrée le représentant.
Les dévots recueilleront de l'eau du lac à ramener pour leur propre temple local.
Les adorateurs les plus dévots restent pour les rituels et les prières du jour.
Je vous avais montré des photos du pèlerinage lors d'une grande fête à Grand Bassin.
2 ans après nous y sommes retournés l'ambiance est assez particulière, on ne s'en lasse pas.
Sur les routes, très tôt le matin, on rencontre le va et vient des chars plus ou moins importants..
Les fidèles se rendent au lac sacré souvent vêtus de blanc portant sur leurs épaules ou tirant leur kanwar qui a été préparé avec soin : cette sorte d’autel ou d’arche ..
La Cité du Vin de Bordeaux se revendique comme le plus grand musée du monde consacré au vin.
Le bâtiment, qui comprend 8 étages (dont quatre consacrés à des bureaux non accessibles au public), offre plusieurs espaces de visite.
Un restaurant panoramique "Le 7", un bar à vins, un salon de lecture, un auditorium, et un belvédère s’ajoutent à l’espace principal du musée, à savoir le parcours permanent.
Habitée successivement par les différents administrateurs de la plantation, la demeure a fait l'objet d'une rénovation importante dans les années 90 et fait aujourd'hui partie du patrimoine architectural mauricien. Elle a été transformée en table d'hôtes.
L’usine est comme un éco musée vivant où Mauriciens et visiteurs étrangers peuvent voir toutes l'étapes de la transformation de la canne.
Saint Aubin, très belle demeure coloniale du 19e siècle.
Habitation d'origine des propriétaires de la plantation sucrière, elle fut construite en 1819 à proximité de l'usine, avec du bois provenant de navires démolis. L'escalier menant à l'étage fut d'ailleurs agence autour d'un mat de navire, et la charpente du grenier est celle d'une ancienne coque.
En 1970, et en raison de la pollution sonore générée par une usine sucrière de plus en plus imposante, les propriétaires décident de reconstruire la maison quelques centaines de mètres plus loin, sur le site qu'elle occupe aujourd'hui.
Le pont Jacques-Chaban-Delmas, à Bordeaux, est un pont levant franchissant la Garonne entre le pont de pierre et le pont d'Aquitaine.
Le pont est configuré pour 43 000 véhicules par jour au maximum.
En service, il est prévu que le pont se lève environ soixante fois par an, immobilisant la circulation pendant une heure environ.
Nous avons eu la chance de passer au bon moment.
La cathédrale anglicane Saint James était la première à Maurice.
En 1872, elle a été construite durant la période française en guise de poudrière. C’est lors de la colonisation anglaise qu’elle sera convertie et aménagée en église. Le bâtiment s’avérera trop petit pour accueillir tous les dévots.
Deux nouvelles ailes y seront donc ajoutées en 1846.
La poudrière devient la cathédrale et a été sacrée, le 26 juin 1850, par le Dr James Chapman, évêque de Colombo.
La Cathédrale n’a pas été épargnée durant le cyclone en 1832. Elle a été rénovée sous le sacre de l’évêque Gregory entre 1904 et 1919. Des dignitaires ont traversé ce lieu, parmi lesquels les Archevêques de Canterbury. La Cathédrale Saint James est aujourd’hui classée patrimoine national.
Le jour de la Fête, les dévots sont vêtus pour les femmes de saris ou habits fushia et offrent leur silence et leur douleur à Muruga. Les hommes ont souvent des tuniques claires.
Les pénitents qui se font transpercer les joues , ou une partie du corps ou ceux qui se mettent un bandeau rose devant la bouche symbolisant leur vœu de silence, retournent en procession vers leur kovil (temple).
Retour à pieds, plusieurs kms, pieds nus, heureusement un camion citerne arrose la route devant eux..
Dans le temple sera faite l'extraction des crochets, la purification de l'âme a été ainsi assurée.
Près de la cathédrale le palais Rohan rappelle la grandeur et la puissance des archevêques de Bordeaux au XVIIIe siècle.
Après la Révolution, il deviendra hôtel du département puis préfecture de la Gironde et enfin hôtel de ville en 1837. Son austère façade de style Louis XVI dissimule un des plus beaux escaliers de France, considéré comme un des chefs-d’œuvre de taille de la pierre français.
Au cœur de la ville s’élève un des plus vieux beffrois de France , seul vestige des anciens remparts de la ville
Cette porte défensive servit aussi de prison. Les jeunes gens qui se conduisaient mal étaient enfermés dans ses geôles munies de porte de 10 cm d’épaisseur et garnies d’énormes verrous.
« Armande-Louise » (c’est le nom de la cloche) sonne 6 fois par an à l’occasion des grandes célébrations : les 1er janvier, 1er mai, 8 mai, 14 juillet, 28 août et 11 novembre à 11h et le 1er dimanche de chaque mois à midi (depuis juillet 2016).
Certains fidèles assistent à la célébration sans pratiquer tout le rituel de pénitence à savoir l'implantation d'aiguilles plus ou moins longues, plus ou moins légères.
Ils se contentent de prières et apportent des offrandes au temple sur un plateau en cuivre : une noix de coco avec son lait, trois bananes, des fleurs, du camphre et de l’encens.
