La Plaza Lavalle figure parmi les espaces verts de la ville les mieux entretenus. Elle est devenue aujourd’hui l’une des plus belles places de Buenos Aires. Dans le secteur-nord de la place, on trouve quelques sculptures rendant hommage à des acteurs, politiciens, et musiciens argentins.
Elle héberge le Palais de Justice à son extrémité sud-ouest et le Théâtre Colon sur sa façade est, avec quelques autres bâtiments illustrant l'architecture variée de Buenos-Aires. On peut trouver la première synagogue construite dans cette ville. Déclaré monument historique national en 2000, vous découvrirez une magnifique façade composée d'arcs décorés de moulures sculptées ainsi que l'étoile de David située au-dessus de la porte principale.
Devant le palais du Congrès, l’espace est aéré grâce à 3 places en enfilade: la place du Congrès et sa fontaine monumentale, la place Mariano Moreno et la place Lorea.
En détail : Une majestueuse fontaine ornée de sculptures d'anges et d'animaux, trône donc au milieu de la place.
Sur la Plaza Mariano Moreno adjacente on peut apercevoir une reproduction du célèbre Penseur d'Auguste Rodin. La Plaza Lorea est la seule place de Buenos Aires à avoir conservé son nom de l’époque coloniale.
Nous montons tout en haut du palais, jusqu'au phare servant à guider les bateaux entrant dans le port de la ville.
Après restauration en octobre 2009, le phare a repris du service mais ne sert plus aujourd’hui qu’à titre d’ornementation.
Le Palacio Barolo comprend une galerie au rez-de-chaussée et les étages sont toujours occupés par des bureaux. Il a été restauré entre 1997 (année ou il est classé monument historique national) et 2009. On peut dire aussi que c'est un palais à la gloire de Dante car l'architecte et le propriétaire se sont inspirés de la divine comédie pour la construction.
Luis Barolo, chef d'entreprise italien s'installe à Buenos Aires pour son commerce de machines à filer le coton. Il fait fortune et décide vers 1910 de construire le plus haut édifice de Buenos Aires.
C'est l'italo-argentin Mario Palanti qui va oeuvrer sur le projet. Il va nécessiter de 650 000 tonnes de béton armé, matériau novateur pour l'époque et 105 millions de briques. Le marbre utilisé est importé de Carrare.
La plus large avenue du monde, avec ses 140 mètres de large, est située à Buenos Aires en Argentine.
L'avenue 9 de Julio a été baptisée ainsi en l'honneur du Jour de la Déclaration d'Indépendance de l'Argentine le 9 Juillet 1816. A son intersection avec l'avenue Corrientes, elle traverse la place de la République où se trouve l'Obélisque de Buenos Aires, monument historique de la ville.
La Confitería London City (599 Av. de Mayo) est un café très fréquenté par les artistes, les hommes politiques et les travailleurs du centre ville. Il fut inauguré en 1954. C’est à une table de ce café, que le célèbre écrivain Julio Cortázar écrit son roman "Los Premios".
Le Bar Los 36 billares (1265 Av. de Mayo) est un des bars les plus traditionnels de Buenos Aires. C’est aussi l’un des centres de billard les plus importants du pays. Il existe depuis 1894.
L’Avenida de Mayo ( de Mai) , longue de 1500 m, relie la Plaza de Mayo à la Plaza de los Dos Congresos. Elle fut inspirée par la Gran Vía de Madrid.
Il n’est pas rare d’entendre des comparaisons avec les avenues de Paris, du fait de ses édifices sophistiqués de style néoclassique, art-nouveau et éclectique. L’Avenida de Mayo croise la grande Avenida 9 de Julio, une des avenues les plus larges au monde. Jalonnée d’édifices et de lieux d’intérêt culturel, historique et architectural, elle a été déclarée lieu historique national.
Mafalda, héroïne de bande dessinée créée par l'Argentin Quino, enfant contestataire éprise de paix et de justice qui a conquis le monde, elle a fêté en 2014 les 50 ans de sa première publication. A 82 ans, Joaquin Salvador Lavado, dit "Quino", s'étonne que Mafalda soit "toujours d'actualité. Lorsque nous sommes passés devant ce fut facile de la prendre en photos, quelques minutes après, quelques jours après nous sommes repassés dans ce quartier, de longues files d'attente pour se prendre en photo avec.
Toujours dans le quartier de SAN TELMO, la Casa Mínima . Cette maison est connue comme la plus étroite de Buenos Aires. Sur sa façade de 2,5 mètres de large, il y a tout juste la place pour la porte et une seule fenêtre avec balcon au premier étage. La Casa Mínima est devenue un mythe dans la culture porteña : elle aurait été habitée par un esclave mis en liberté en 1813, son maître lui ayant octroyé ; mais ceci n’a jamais été réellement prouvé. Selon certains historiens, cette maison serait le résidu de la réformation et de la re division d’anciens immeubles.