Nous voici à Reims, devant nous la porte de Mars.
C’est un des plus anciens monuments gallo-romain dans Reims.
Elle est constituée de trois arcades : l'arcade centrale était destinée au passage des chariots, les deux arcades latérales, à celui des piétons.
Avançons dans le temps avec l'hôtel de ville :
La Première Guerre mondiale si destructrice à Reims n'épargna pas l'Hôtel de Ville : incendié le 3 mai 1917, il brûla complètement. La façade sur la place de l'Hôtel de Ville, avec son campanile, est relevée par l'architecte en Chef des Monuments Historiques Bernard Haubold tandis que l'intérieur, où rien ne subsiste après l'incendie, est entièrement refait sous les directives de l'architecte Roger-Henri Expert. Les travaux sont réalisés par le rémois Paul Bouchette avant l'inauguration par le Président de la République Gaston Doumergue le 10 juin 1928.
Et pour se remettre de la balade il fallait bien un bsicuit : le rose
Le biscuit rose de Reims
L'originalité de ce biscuit réside dans sa belle couleur rose, obtenue par l'addition de carmin à la pâte.
Les biscuits roses de Reims sont rectangulaires, fermes et croustillants. Leur excellente tenue au "trempage", ce qui les prédestine souvent à finir dans un verre de vin rouge, un vin cuit ou même du Champagne.
Il peut aussi être croqué sec, être imbibé pour remplacer les boudoirs dans les charlottes et réduit en poudre, il se prête à de multiples usages.
Bonjour Francette. J'ai donné des cours pendant deux années dans cette ville que je trouve un peu austère l'hiver. Angers/Châteaudun fait une longue route pour une journée car Châteaudun mérite déjà plus d'une journée de visite. Bises, Chris
RépondreSupprimerBonjour Francette. J'aime bien les batiments anciens que tu nous montres. J'ai un paquet de biscuits roses dans un placard, mais jamais ouvert. Bonne journée et bisous
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